C'est une grande première pour Amélie Mauresmo, qui va vivre son premier Roland Garros en tant que directrice du tournoi. En remplacement de Guy Forget, évincé l'année dernière, l'ancienne star du circuit féminin va devoir tenir les rênes d'un des quatre tournois les plus importants du tennis mondial. Une tâche qui ne fait pas peur à celle qui a remporté Wimbledon et l'Open d'Australie dans sa carrière. Si tout se passe pour le mieux dans sa vie professionnelle, la sportive de 42 ans est une femme heureuse dans sa vie privée.
Maman de deux enfants, Aaron (6 ans) et Ayla (5 ans), elle passe beaucoup de temps avec eux et prend son rôle de mère très à coeur. Interrogée par Le Figaro, Amélie Mauresmo s'épanche sur sa vie de famille et le lien fort qui la lie à son garçon et sa fille. "Je passe beaucoup de temps avec les enfants, j'aime bien partager beaucoup de choses avec eux. Je pense que je suis sympa mais j'aime bien avoir un cadre", révèle-t-elle, avant de préciser sa pensée : "Les limites, c'est capital. Je ne suis pas hyper sévère mais ils savent ce qui nous tient à coeur".
Je ne vais pas les pousser plus que ça, je ne serai pas comme certains parents qu'on a vus dans le tennis
Considérée comme l'une des plus grandes joueuses françaises de l'histoire, Amélie Mauresmo est une véritable icône de son sport. Beaucoup d'enfants de sportifs accomplis se tournent vers la discipline de leurs parents, et les petits de l'ancienne tenniswoman n'échappent pas à la règle. "La petite vient d'avoir 5 ans et a envie de s'y mettre, le grand de 6 ans fait du tennis et du hockey sur glace, il aime bien. Je ne vais pas les pousser plus que ça, je ne serai pas comme certains parents qu'on a vus dans le tennis. Je veux juste qu'ils soient heureux et qu'ils prennent du plaisir", assure-t-elle.
Maman très attentionnée avec ses enfants, Amélie Mauresmo essaye de leur apporter la meilleure éducation possible, pour faire d'eux des enfants épanouis et pourquoi pas un jour marcher dans les pas de leur illustre mère !
Retrouvez l'interview d'Amélie Mauresmo sur le site du Figaro.