Un grand retour qui fait la joie de ses admirateurs. Ce lundi 7 octobre 2024, la chanteuse Anaïs a été conviée sur le plateau de Chez Jordan pour promouvoir Un sacré numéro, son nouvel album. Face à Jordan De Luxe, l'artiste de 48 ans a naturellement rebondi sur le succès phénoménal de son tube Mon coeur, mon amour qui a eu le mérite de faire virevolter des milliers de mélomanes il y a près de 20 ans.
Un véritable engouement qui lui a permis d'écouler à l'époque son opus The Cheap Show, à plus de 700 000 exemplaires. Face au célèbre présentateur, la principale intéressée a révélé qu'elle avait littéralement touché le jackpot grâce à son célèbre morceau : "En musique, nous, ça s'étale en plusieurs années, le temps que... Je crois qu'il se passe deux ou trois années, avant qu'on touche. J'ai gagné de quoi faire un prêt pour un appart. Je pense 200 000 euros, étalé sur l'album The Cheap Show".
Grâce à ce joli pactole, Anaïs Croze a d'ailleurs pu investir dans la pierre. "Ça m'a permis de faire un prêt quoi, pour un appart. Et après, quand j'ai voulu redescendre dans le sud, ben, j'ai revendu l'appart, et j'ai acheté une petite maison de village, un peu comme à Bel Air... que j'ai revendue pour acheter un appart à Paris !", a ajouté la pétillante brune. Après ce succès colossal, la star a toutefois disparu des radars.
Les gens m'agressaient dans la rue
Mais à la surprise générale en 2018, Anaïs a été mise à l'honneur dans un épisode de Recherche appartement ou maison aux côtés de Stéphane Plaza. D'ordinaire discrète, il n'a pas été facile pour l'interprète de Merci mon ami de devoir gérer sa notoriété "après les victoire de la musique" qui a eu un impact sur sa vie privée.
"Les gens m'agressaient dans la rue (...). Il y avait le début de 'je prends en photo, je prends en photo, je ne lâche pas'. Et il y a toujours malheureusement chez les gens ce truc de se dire qu'il y a un égocentrisme terrible des médias, qui fait que les gens se disent que s'ils ne sont pas connus, ils sont nuls", a regretté Anaïs. "Moi je me faisais agresser dans la rue, qui me disaient 'mais t'es qui toi ?! Je ne sais pas qui t'es (...). Cela m'a fait peur."