Actuellement à l'affiche de la nouvelle création originale de Canal+ Baron Noir, Anna Mouglalis est en couverture du dernier numéro de L'Express Styles. Un cliché élégant pour une femme vue sous l'angle de l'amour. Et forcément, il y a beaucoup à dire.
A 37 ans, maman d'une petite Saül (fruit de son idylle avec Samuel Benchetrit), Anna Mouglalis apparaît comme une femme épanouie. De l'amour, elle en a une définition toute particulière. L'actrice en a notamment montré une facette lors de son divorce avec Vincent Rae, un homme d'affaire qu'elle avait épousé il y a près de trois ans pour finalement le quitter 4 mois plus. "J'ai rencontré un homme qui rêvait de se marier, et je trouvais ça amusant, mais je n'ai jamais caché le fait que pour moi, la mariage ne représentait rien", lançait-elle dans une interview avec Grazia.
Un regard froid sur le mariage qui est contrecarré par cet entretien où Anna Mouglalis expose ses vues sur ce sujet si complexe. Et de confier par exemple : "Je ne considère pas l'amour comme un bien de consommation : c'est à cette condition seulement qu'il peut être extraordinaire et terrible également."
En ligne de mire, on pense inévitablement à ce si beau couple qu'elle a formé avec le réalisateur Samuel Benchetrit, qu'elle évoque d'ailleurs furtivement. "Il est m'est tombé dessus, c'est presque un amour immortel", dit-elle de lui. N'est-ce pas là une déclaration on ne peut plus romantique. D'autant qu'en plus d'être liés par le sang, celui de leur fille Saül, les deux ex continuent de collaborer ensemble, eux qui ont travaillé ensemble dans J'ai toujours rêvé d'être un gangster Chez Gino et Un voyage.
Dans ses confessions, la comédienne notamment vue dans Coco Chanel & Igor Stravinsky ainsi que Le Prix du désir avoue ne pas avoir "peur d'être blessée en amour". Elle est même résolue : "Je crois qu'on peut toujours aimer même si on a été souvent heurté, on peut toujours mieux aimer", assure la belle muse Chanel.
Portrait et interview à retrouver en intégralité dans L'Express Styles, supplément de L'Express, en date du 10 février 2016.