Arielle Dombasle a été la victime d'une tentative de chantage à laquelle la police vient de mettre fin. La suspecte est une jeune femme de 25 ans, Jamila B., domiciliée à Bobigny. Elle a été interpellée, selon le Parisien qui relate cette affaire, et placée en garde à vue. Le jeune maître chanteur a depuis été relâché et le dossier est au parquet qui devra décider des suites judiciaires à cette affaire.
Rappel des faits : le 13 juillet 2010, l'agence qui gère la carrière de l'actrice reçoit un email anonyme. L'auteur y explique être en possession de photographies compromettantes de l'actrice. "Le corbeau indiquait que ces photos avaient été prises dans un bois de Neuilly-Plaisance (Seine-Saint-Denis), raconte une source proche de l'affaire dans Le Parisien. Il précisait qu'Arielle Dombasle se trouvait seule, dans des positions particulières au moment de la prise des clichés." À cette période, Arielle Dombasle est sur le tournage de Crédit pour tous avec Dominique Pinon, sous la direction de Jean-Pierre Mocky. Le film est sorti le 1er avril.
Dans cet email, le corbeau explique avoir été contacté par des journaux intéressés par acheter ces clichés, mais se dit près "à ne pas entacher la réputation" de l'actrice contre une somme d'argent. L'agence prévient Arielle Dombasle qui décide de porter plainte. Après plusieurs mois d'enquête, les policiers de la brigade de répression de la délinquance sur la personne (BRDP) identifient la responsable. D'après une source proche du dossier, "aucune photo compromettante n'a été retrouvée". Contactée par Le Parisien, l'agence n'a pas souhaité répondre et l'agent artistique de l'actrice a indiqué ne "pas être du tout informé" de cette affaire. Une totale langue de bois !
Arielle Dombasle - épouse de Bernard Henri Levy à la ville - poursuit sa carrière sur tous les fronts. Le 16 mai paraîtra Diva Latina (Universal/Mercury) son nouvel album. Le premier single est une reprise du standard espagnol Porque te vas, dont l'artiste vient de dévoiler le majestueux clip vidéo. Les stars portent plainte de plus en plus fréquemment pour ce nouveau genre de délit, " se faire de l'argent facile". Les magazines dits people ou trash pour d'autres deviennent de plus en plus frileux à acheter ce genre de photos (si elles existent ?) en raison des procès et de la chute des ventes des magazines, tous genres confondus. Aujourd'hui, la presse people ne jette plus l'argent par les fenêtres...