Aya Nakamura s'est mise à nue dans les pages du magazine Le Monde, pour lequel elle a également posé en couverture. De rares confidences au sujet de son adolescence difficile au coeur "de la cité des 3000" à Aulnay-Sous-Bois ont notamment été faites lors de cet entretien. On y apprend alors que l'ex-compagne du rappeur Niska "a été retirée à ses parents pour être placée en foyer", la relation avec son père étant alors "ténue" à ce moment-là de sa vie.
Ce dernier n'aurait "jamais écouté sa musique" et vivrait désormais "loin de la France", "ne prenant que très rarement" de ses nouvelles. De quoi "forger la résilience" de la chanteuse, elle qui n'a cependant pas souhaité s'exprimer sur ce sujet, car elle le juge comme "trop personnel".
"J'ai toujours dit que je chantais ce que je vivais", a-t-elle ajouté dans la foulée. Car effectivement, elle n'hésite pas à parler de sa vie intime dans ses morceaux, l'un de ses plus gros titres, Djadja, étant inspiré d'un jeune homme mystérieux qui lui aurait menti et propagé de fausses rumeurs sur elle. Et pour rester sur l'aspect sentimental, Aya Nakamura est aujourd'hui, pour rappel, séparée de Vladimir Boudnikoff, le père de sa fille Ava (elle est également la maman d'Aïcha, née il y a sept ans d'une précédente relation).
Un producteur et manager, avec qui elle a connu une séparation sulfureuse, puisqu'en novembre dernier, BFMTV révélait qu'ils allaient tous les deux être jugés pour "violences par conjoint avec ITT (incapacité totale de travail, ndlr) de moins de huit jours", pour des faits datant de l'été dernier. Un procès qui a été repoussé et qui se tiendra finalement le 26 janvier prochain. Une date qui correspond également à la sortie de son nouvel et quatrième album DNK. Un projet très attendu, alors qu'elle vient tout récemment de vendre en un temps record les places de ses trois concerts qui se tiendront à l'Accor Arena les 26, 27 et 28 mai prochains.