Comme l'ont indiqué nos confrères de RTL Info, en s'appuyant sur des informations de Het Laatste Nieuws, Barbara Gandolfi est suspectée d'être impliquée dans un réseau de prostitution et a ainsi été incarcérée, suite à une décision de la chambre du conseil de Bruges en Belgique (elle est originaire d'Ostende). "Les faits seraient liés à un bar à strip-tease de la cité côtière", précisent-ils, avant d'ajouter qu'elle serait "la figure centrale dans ce dossier".
Plusieurs femmes originaires de Hongrie auraient été contraintes à se prostituer, après avoir été recrutées pour travailler dans ce bar. L'ex-compagne deJean-Paul Belmondo aurait rédigé le texte de la publicité sur Redlights, le site Internet sur lequel des prostituées proposent leurs services. Frédéric V., ex-mari et père des enfants de Barbara Gandolfi, serait celui à qui ces prostituées versaient la moitié de leurs gains. Il est déjà bien connu de la justice puisqu'il a accumulé plus de 50 condamnations depuis 1996.
Barbara Gandolfi a été interpellée ce week-end, alors qu'elle se rendait en prison pour rendre visite au père de son ex-compagnon. "Selon son avocat, elle nie toute implication dans les faits faisant l'objet de l'enquête en cours", ajoutent nos confrères. La chaine RTL Tvi, où elle est à l'affiche de l'émission "Les Traîtres, est en train d'analyser la situation, afin "de ne pas précipiter de conclusions hâtives et d'attendre les développements judiciaires pour prendre des décisions définitives."
Barbara Gandolfi a pour rappel partagé la vie de Jean-Paul Belmondo de 2008 à 2012, et a déjà eu des ennuis avec la justice car elle avait été reconnue coupable d'avoir profité du célèbre acteur français. Elle avait réussi à faire en sorte qu'il lui "prête" 200 000 euros pour l'aider dans son business de nightclubs. Elle avait été jugée puis condamnée à 9 mois de prison avec sursis et à une amende de 5 500 euros. Frédéric Vanderwilt était là-aussi impliqué et avait écopé quant à lui de dix-huit mois de prison ferme. Avec la même amende à payer : 5 500 euros.
Barbara Gandolfi est présumée innocente des faits qui lui sont reprochés jusqu'au jugement définitif de ce dossier.