S'il n'a pas été tendre avec son ancienne épouse Flavie Flament ou encore avec la chroniqueuse Enora Malagré, Benjamin Castaldi a également égratigné Cyril Hanouna, "animateur despote", dans son autobiographie. Invité sur le plateau de Face à France de Jean-Marc Morandini sur NRJ12, mardi 10 novembre, Cyril a reçu la visite surprise de Castaldi. L'occasion de mettre les choses à plat.
Au sujet des termes "despote" et "intouchable", dont l'a affublé Benjamin Castaldi, Cyril Hanouna a déclaré : "Je comprends ce que veut dire Benjamin, mais je ne suis pas d'accord avec ça. C'est vrai je suis tellement attaché à D8 (...) et c'est vrai qu'ils me demandent beaucoup mon avis. Quand ils avaient en tête Benjamin, j'ai beaucoup poussé pour qu'il vienne sur la chaîne."
Pour l'animateur de Touche pas à mon poste, tout est "parti en vrille" au moment où il a beaucoup critiqué Nouvelle Star, alors entre les mains de l'ancien animateur de TF1. Cyril n'a pas le moindre remords, ayant fait de même lorsqu'il était lui-même aux commandes du télé-crochet de D8. Il est vrai que l'animateur de 41 ans n'a jamais été tendre avec le programme, qu'il qualifie d'"émission de bobo". "Benjamin l'a pris contre lui", a-t-il indiqué.
Castaldi, lui, a reconnu que c'était tendu avec Cyril depuis le jour où il avait évoqué un possible remplacement de Julien Courbet aux commandes de Touche pas à mon poste en cas d'absence le vendredi. Proposition qui a été très mal perçue par le principal intéressé, mais aussi par le reste de l'équipe de TPMP. "C'était pas méchant, assure-t-il. Je me suis poussé tout seul à partir, je me suis mis un coup de pied au cul. Pour moi c'était compliqué, j'avais pas de projets sur la chaîne. A un moment, j'avais besoin d'exister."
Alors que tout semblait arrangé et que Cyril a assuré qu'il voulait que Benjamin revienne sur D8, ce dernier, lui, ne semblait guère emballé.
Très critiqué sur les réseaux sociaux depuis la sortie de son autobiographie, l'ancien animateur de Loft Story sur M6 a pu compter sur le soutien de son camarade Nikos Aliagas, qui a pris sa défense, rappelant son professionnalisme.