Nick Gordon est dans de sales draps. Le compagnon de Bobbi Kristina, plongée dans le coma depuis le 31 janvier dernier après avoir été retrouvée noyée dans sa baignoire, est la cible des administrateurs des biens de la fille de Whitney Houston. Une plainte a été déposée, et People en dévoile les détails...
On savait que le jeune homme, qui se présente comme l'époux de Bobbi Kristina, était l'objet d'une plainte pour violences et détournement de fonds. Le site internet People dévoile que les administrateurs de la jeune femme, à qui les médecins ne donnent plus de chances de se réveiller, réclament 10 millions de dollars à Nick Gordon. La plainte au civil, déposée la semaine passé, accuse le jeune homme de s'être fait passer pour l'époux de la jeune femme de 22 ans pour contrôler et limiter ses relations sociales.
Il "répondait souvent au téléphone personnel de Brown (Bobbi Kristina, ndlr), ne lui permettait pas de prendre des rendez-vous sans son accord, et manipulait ses relations bancaires pour avoir accès à son argent", affirme la plainte, qui ajoute qu'il aurait transféré "une importante proportion" des fonds de Bobbi Kristina sur un compte dont lui seul avait le contrôle.
Selon la plainte toujours, Bobbi Kristina aurait confié à une personne non-identifiée que Nick Gordon "n'était pas l'homme qu'elle pensait être" et avait prévu une rencontre le 31 janvier pour évoquer la situation. Toutefois, elle ne se serait jamais rendue au rendez-vous et, à la place, "se serait retrouvée entraînée dans une violente dispute" avec Nick Gordon dans sa maison, qui se serait terminée "la tête plaquée contre le fond d'une baignoire, avec sa bouche enflée et une autre dent arrachée". Des "dommages au cerveau globaux et irréversibles" auraient ensuite été diagnostiqués, des éléments qui font écho au témoignage accablant d'une proche de Bobbi Kristina.
Nick Gordon, pour faire face à cette plainte, s'est entouré d'une équipe d'avocats de renom, alors que People précise qu'aucune charge criminelle n'a été retenue contre lui, que ce soit de la part du ministère public ou de la famille de la jeune femme, actuellement en soins palliatifs, même si une enquête criminelle a bel et bien été ouverte.