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Pas facile d'approcher l'icône Brigitte Bardot, paisible dans son paradis tropézien, la Madrague. Pourtant, la star a accepté de se livrer pour une émission exceptionnelle à l'heure de ses 80 ans (le 28 septembre). En effet, elle a reçu le journaliste star de France 2 pour Un jour, un destin. Ce n'était pas gagné...
Brigitte Bardot a répondu aux questions de Laurent Delahousse, lui laissant une seconde chance, comme elle l'explique à TV Magazine : "Il avait fait un documentaire sur moi que j'avais trouvé sans intérêt [en 2008, il a présenté une émission au titre évocateur, "Brigitte Bardot : une vie, des scandales"]. A l'époque, j'étais furieuse contre lui. Et puis je n'ai pas pu résister aux lettres qu'il m'a envoyées et aux coups de téléphone adorables qu'il m'a donnés, afin de me faire céder. Je ne le regrette pas, pour l'instant, mais j'attends de voir le résultat. (...) Je le découvrirai en même temps que les téléspectateurs." Elle ne manque pas d'ajouter qu'il devait venir seul la voir, mais est finalement venu avec une équipe de dix personnes : "Ça m'a choqué. (...) Mais finalement, tous ses collaborateurs ont été tellement gentils avec moi..."
Jamais à court de phrases choc, elle profitera de son entretien pour dire que les programmes télé ne sont pas formidables - tout en précisant qu'elle apprécie Money Drop sur TF1 et sa présentatrice Laurence Boccolini - et qu'elle a été choquée par la manière cavalière et inélégante dont François Hollande a répudié Valérie Trierweiler, autant que par le grand déballage de l'ancienne première dame avec son livre (Merci pour ce moment). Qu'elle ne lira pas.
La star du Mépris a également accordé une interview à Ici Paris pour son édition hors série. Elle parlera de Serge Gainsbourg, puisqu'elle a autorisé un livre surtout axé sur son histoire avec le poète moderne, Bardot, Gainsbourg - Passion fulgurante (édition Hugo Document). Elle ne lui en veut pas d'avoir enregistré le duo Je t'aime moi non plus avec Jane Birkin : "Je n'en ai jamais voulu à l'un, ni à l'autre." Leurs retrouvailles en 1989 sont uniquement amicales, et lorsqu'elle apprend sa mort, elle est sous le choc : "La mort d'un être qu'on a aimé est toujours une déchirure." Toutefois, l'homme qu'elle a le mieux aimé, ce n'est pas lui, mais son grand-père maternel, qu'elle surnommait 'le boum' : "Nous étions très complices. Je l'ai adoré." Elle-même grand-mère aujourd'hui, et même arrière-grand-mère, la fervente protectrice des animaux n'a malheureusement pas noué les mêmes relations avec sa famille.
Brigitte Bardot sort un livre, Mes as de coeur, en hommage à tous ceux qui ont dévoulé leur vie aux animaux et ne sont pas forcément connus du grand public.
Un jour, un destin, sur France 2 mardi 26 septembre
Retrouvez l'intégralité des interviews dans TV Magazine (21 septembre 2014) et le hors série Ici Paris spécial Brigitte Bardot (octobre 2014)
Brigitte Bardot a répondu aux questions de Laurent Delahousse, lui laissant une seconde chance, comme elle l'explique à TV Magazine : "Il avait fait un documentaire sur moi que j'avais trouvé sans intérêt [en 2008, il a présenté une émission au titre évocateur, "Brigitte Bardot : une vie, des scandales"]. A l'époque, j'étais furieuse contre lui. Et puis je n'ai pas pu résister aux lettres qu'il m'a envoyées et aux coups de téléphone adorables qu'il m'a donnés, afin de me faire céder. Je ne le regrette pas, pour l'instant, mais j'attends de voir le résultat. (...) Je le découvrirai en même temps que les téléspectateurs." Elle ne manque pas d'ajouter qu'il devait venir seul la voir, mais est finalement venu avec une équipe de dix personnes : "Ça m'a choqué. (...) Mais finalement, tous ses collaborateurs ont été tellement gentils avec moi..."
Jamais à court de phrases choc, elle profitera de son entretien pour dire que les programmes télé ne sont pas formidables - tout en précisant qu'elle apprécie Money Drop sur TF1 et sa présentatrice Laurence Boccolini - et qu'elle a été choquée par la manière cavalière et inélégante dont François Hollande a répudié Valérie Trierweiler, autant que par le grand déballage de l'ancienne première dame avec son livre (Merci pour ce moment). Qu'elle ne lira pas.
La star du Mépris a également accordé une interview à Ici Paris pour son édition hors série. Elle parlera de Serge Gainsbourg, puisqu'elle a autorisé un livre surtout axé sur son histoire avec le poète moderne, Bardot, Gainsbourg - Passion fulgurante (édition Hugo Document). Elle ne lui en veut pas d'avoir enregistré le duo Je t'aime moi non plus avec Jane Birkin : "Je n'en ai jamais voulu à l'un, ni à l'autre." Leurs retrouvailles en 1989 sont uniquement amicales, et lorsqu'elle apprend sa mort, elle est sous le choc : "La mort d'un être qu'on a aimé est toujours une déchirure." Toutefois, l'homme qu'elle a le mieux aimé, ce n'est pas lui, mais son grand-père maternel, qu'elle surnommait 'le boum' : "Nous étions très complices. Je l'ai adoré." Elle-même grand-mère aujourd'hui, et même arrière-grand-mère, la fervente protectrice des animaux n'a malheureusement pas noué les mêmes relations avec sa famille.
Brigitte Bardot sort un livre, Mes as de coeur, en hommage à tous ceux qui ont dévoulé leur vie aux animaux et ne sont pas forcément connus du grand public.
Un jour, un destin, sur France 2 mardi 26 septembre
Retrouvez l'intégralité des interviews dans TV Magazine (21 septembre 2014) et le hors série Ici Paris spécial Brigitte Bardot (octobre 2014)