Elle a été sa huitième et ultime épouse. Eddie Barclay a eu une vie sentimentale très remplie. Le riche éditeur et producteur de musique avait eu deux enfants, Pascal en 1949 avec Nicole Vandenbussche et Guillaume en 1968 avec Marie-Christine Steinberg. Etonnamment, il ne leur a pourtant pas laissé grand-chose quand il est décédé le 13 mai 2005 à l'âge de 84 ans. Ni à ses fils, ni à Caroline Barclay.
Invitée à répondre aux questions les plus intimes de Jordan de Luxe, sur C8 en juillet dernier, Caroline Barclay a effectivement avoué que son ex-mari avait pour habitude de flamber, et ce même sans aucune entrée d'argent. "Il vivait comme un milliardaire qu'il n'était pas du tout, a-t-elle expliqué. Parce qu'en fait, il avait vendu sa maison de disques il y a déjà très longtemps, en 1981. Et après, il vivait un peu sur la bête quoi. Il n'avait pas énormément de revenus, et ne serait-ce que la maison de Saint-Tropez... tout ça coûtait très cher. Même si ses fêtes en blanc énormes étaient pas mal sponsorisées, et que c'était un des premiers à faire ça... malgré tout, les grandes tablées tous les jours, les grands vins..."
C'est lui qui encaissait mes cachets, mes honoraires
Du temps de leur amour, de 1988 à 1998, Eddie Barclay avait traité Caroline comme une petite reine. Il lui avait par exemple offert un joli modèle de 205 GTI, pour elle qui aimait tant prendre le volant. Pour autant, quand le clap de fin s'est abattu sur leur histoire, ses habituels élans de générosité ont disparu. "Eddie était très sympathique, mais quand il se séparait... c'est aussi pour ça qu'il a pu se marier 8 fois. Il ne voulait rien donner à sa femme. Zéro, a-t-elle raconté sur C8. Alors moi, justement, ça m'a un petit peu ennuyée. Quand il m'a rencontrée, j'avais 20 ans, j'étais en fac de droit, j'avais arrêté mes études pour me marier et vivre avec lui. Je crois que je n'avais même pas un compte en banque quand j'étais avec lui. C'est lui qui encaissait mes cachets, mes honoraires."
C'était inscrit dans le jugement de divorce
Après avoir eu recours à un avocat, Caroline Barclay a finalement empoché la somme de 2 millions de francs, soit environ 300 000€. Elle a également négocié le droit de conserver son nom de famille pour pouvoir se lancer plus sérieusement, professionnellement parlant. "C'était inscrit dans le jugement de divorce, conclut-elle. Parce que justement, comme il ne me laissait pas un très gros chèque, il fallait que je puisse travailler rapidement. j'avais eu dans l'idée de créer mon agence d'évènementiel. Et c'est plus facile de travailler sous le nom de Caroline Barclay que Caroline Giganti. Et ça ne l'a pas dérangé du tout..."