À la mort de sa mère, le 8 septembre 2022, le prince Charles est devenu roi d'Angleterre. Un événement qu'il attendait autant qu'il le redoutait puisque monter sur le trône signifiait également perdre sa mère. Ce moment est arrivé et s'est révélé aussi éprouvant qu'attendu. Mais une page de l'Histoire s'est tournée et si l'arrivée de Charles sur le trône d'Angleterre faisait craindre le pire à certains, force est de constater que le mari de Camilla Parker Bowles s'en sort plutôt très bien jusque-là.
Mais en qualité de roi d'Angleterre, tout n'est pas dû à Charles III. Comme nous en informe Point de vue, ce mercredi 20 septembre, jour de l'arrivée du couple royal britannique en France, tout ce qui se trouve sur le territoire britannique et n'est pas la propriété du Souverain. Pour preuve, lui qui a posé ses valises à Highgrove, manoir du XVIIIe siècle, paye en réalité un loyer pour continuer d'y habiter.
Et cette somme, versée tous les mois, atterrit sur le compte de son propre fils, le prince William. Explications : en montant sur le trône, Charles a transmis son statut de duc de Cornouailles à son fils aîné. Le manoir se trouvant sur le duché de Cornouailles, source de revenus du duc qu'est donc devenu son fils aîné William, le roi Charles III est contraint de lui verser un loyer. On ignore néanmoins le montant exact de la pension.
Comme l'explique toujours le magazine spécialiste de la royauté Point de vue, les revenus générés par le duché de Cornouailles constituent le seul salaire du papa de George, 9 ans, Charlotte, 7 ans et Louis, 5 ans. Une coquette somme à laquelle le prince William soustrait les dépenses officielles, celles de la famille mais également un impôt sur le revenu, comme tous les Britanniques, qui s'élève à hauteur de 40 %. Sur l'année 2022-2023, William a donc touché une partie plutôt confortable. Sept millions avant qu'il ne déduise les impôts. De quoi voir venir, effectivement...