Le magazine Grazia avec Charlotte Gainsbourg en couverture
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Nonchalante, complexe et douce, Charlotte Gainsbourg brille à la fois au cinéma et en musique. Avec habileté, elle navigue entre ces deux univers. Ainsi, elle était à Cannes pour remettre la Palme d'or, et pour présenter le film L'Arbre. La star entame aussi une tournée en France à partir du 14 juin. Sa demi-soeur Lou Doillon se dévoilait dans le magazine L'Officiel. Cette fois, Charlotte se livre dans Grazia dont voici les extraits.
Il y a quelque temps, Charlotte affrontait l'une de ses angoisses : monter sur scène et elle l'a fait notamment au cours du fameux festival de Coachella ! Pourtant, elle est habituée à dépasser ses limites comme elle l'a fait pour le tournage d'Antichrist de Lars von Trier : "J'ai l'impression d'avoir eu le droit d'être hystérique pendant deux mois. Etre dingue, parfois, ça fait du bien !" Ça lui permet aussi de remporter le prix d'interprétation à Cannes en 2009.
Avec humour, elle parle aussi de son rôle de mère. Devenir maman ne l'a fait sortir que superficiellement de l'adolescence, qu'elle trouvait pesante et éternelle : "Ils [Ben et Alice qu'elle a eus avec Yvan Attal] me font ressentir des émotions d'enfant. Mais je suis tellement... enfin, en ce qui les concerne, je prends tout sur moi, ce n'est pas raisonnable, je n'arrive pas à prendre de la distance, je ne suis pas équilibrée, je n'ai aucune philosophie, je me considère comme une mauvaise mère. [...] De toute façon, on a toujours l'impression qu'éduquer les enfants, c'est faire des erreurs."
Avec Yvan Attal à qui elle a donné la réplique en 1990 dans Aux yeux du monde en 2001 dans Ma Femme est une actrice, et en 2004 dans Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants, elle forme un beau couple de cinéma mais elle n'a pas une vision romancée de sa vie amoureuse : "On le voit pas comme ça. Pour l'instant, c'est bien, voilà. Je ne me suis jamais posé de questions de ce côté-là. J'étais très jeune. Je n'ai jamais compris les gens qui se demandent s'ils vont s'intaller ensemble, former un couple. Pour moi, ça a été évident et en même temps, rien n'est acquis, on peut aussi se séparer demain."
Comme dans de nombreuses interviews, Charlotte Gainsbourg est interrogée sur son père Serge et la relation qu'elle entretenait avec lui et sa mère Jane Birkin : "Mes parents n'étaient pas de grands bosseurs, non. C'était cool. Ils ne faisaient pas grand-chose. Ils rentraient de boîte quand je partais à l'école. C'était drôle, ça ne me gênait pas du tout."
Son éducation pas comme les autres lui a permis de devenir une artiste particulière, qui nous a encore séduit avec son single Time of the Assassins issu de l'album IRM.
Retrouvez l'intégralité de cet entretien dans l'hebdomadaire Grazia du 28 mai au 3 juin 2010.
Il y a quelque temps, Charlotte affrontait l'une de ses angoisses : monter sur scène et elle l'a fait notamment au cours du fameux festival de Coachella ! Pourtant, elle est habituée à dépasser ses limites comme elle l'a fait pour le tournage d'Antichrist de Lars von Trier : "J'ai l'impression d'avoir eu le droit d'être hystérique pendant deux mois. Etre dingue, parfois, ça fait du bien !" Ça lui permet aussi de remporter le prix d'interprétation à Cannes en 2009.
Avec humour, elle parle aussi de son rôle de mère. Devenir maman ne l'a fait sortir que superficiellement de l'adolescence, qu'elle trouvait pesante et éternelle : "Ils [Ben et Alice qu'elle a eus avec Yvan Attal] me font ressentir des émotions d'enfant. Mais je suis tellement... enfin, en ce qui les concerne, je prends tout sur moi, ce n'est pas raisonnable, je n'arrive pas à prendre de la distance, je ne suis pas équilibrée, je n'ai aucune philosophie, je me considère comme une mauvaise mère. [...] De toute façon, on a toujours l'impression qu'éduquer les enfants, c'est faire des erreurs."
Avec Yvan Attal à qui elle a donné la réplique en 1990 dans Aux yeux du monde en 2001 dans Ma Femme est une actrice, et en 2004 dans Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants, elle forme un beau couple de cinéma mais elle n'a pas une vision romancée de sa vie amoureuse : "On le voit pas comme ça. Pour l'instant, c'est bien, voilà. Je ne me suis jamais posé de questions de ce côté-là. J'étais très jeune. Je n'ai jamais compris les gens qui se demandent s'ils vont s'intaller ensemble, former un couple. Pour moi, ça a été évident et en même temps, rien n'est acquis, on peut aussi se séparer demain."
Comme dans de nombreuses interviews, Charlotte Gainsbourg est interrogée sur son père Serge et la relation qu'elle entretenait avec lui et sa mère Jane Birkin : "Mes parents n'étaient pas de grands bosseurs, non. C'était cool. Ils ne faisaient pas grand-chose. Ils rentraient de boîte quand je partais à l'école. C'était drôle, ça ne me gênait pas du tout."
Son éducation pas comme les autres lui a permis de devenir une artiste particulière, qui nous a encore séduit avec son single Time of the Assassins issu de l'album IRM.
Retrouvez l'intégralité de cet entretien dans l'hebdomadaire Grazia du 28 mai au 3 juin 2010.