Christophe Michalak : 'Mon père ne m'a pas reconnu. J'ai connu un homme odieux'
Publié le 3 juillet 2013 à 18:10
Par Valentine M.
Christophe Michalak en novembre 2012 à Monaco Christophe Michalak en novembre 2012 à Monaco© BestImage
Christophe Michalak avec Delphine en mai 2012 à Paris
Christophe Michalak dans Qui sera le prochain grand pâtissier ?
Christophe Michalak en octobre 2012 à Paris
Christophe Michalak dans Qui sera le prochain grand pâtissier ?
Ici Paris en kiosques le 3 juillet 2013
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Hier soir, mardi 2 juillet, vous étiez plus de 2,8 millions de téléspectateurs à regarder le premier numéro de Qui sera le prochain grand pâtissier ? sur France 2 ! Si la gourmandise a certainement attiré un grand nombre de téléspectateurs, le physique de l'un des jurés, le beau Christophe Michalak, doit également y être pour quelque chose... Interrogé dans les pages d'Ici Paris (en kiosques le 3 juillet 2013), il se confie sur son enfance difficile et sa rage de vaincre.

Aujourd'hui connu dans le monde entier, Christophe Michalak revient de loin : "Je ne sais pas si je suis né sous une bonne étoile. Je suis né pauvre. Ma mère est d'origine italienne et est issue d'une famille de dix enfants." Cette soif de réussir, le pâtissier la tient de sa maman, qui est pour lui un véritable exemple. Il se souvient : "Elle travaillait sans se plaindre douze heures par jour comme infirmière et faisait en plus des ménages pour me donner une éducation correcte. Grâce à elle, j'ai la niaque. Plus on me tape dessus, plus j'ai une résilience naturelle." Son père, le pâtissier fait tout pour ne pas lui ressembler : "Mon père ne m'a pas reconnu. Il est revenu dans ma vie lorsque j'avais 8 ans. J'ai connu un homme odieux, coureur et menteur. Je suis l'antithèse de ça."

C'est à l'âge de 16 ans que Christophe Michalak, qui se dévoilait récemment dans La Parenthèse inattendue, a trouvé ce qu'il voulait faire de sa vie. "J'ai commencé à bien manger à 20 ans. Avant, c'était purée mousseline et raviolis en conserve", raconte celui qui avoue ne pas toujours avoir été cet homme au physique très séduisant. Au contraire : "Ado, j'étais gros avec des boutons et des lunettes. Les nanas m'ignoraient." Voilà qui devrait faire sourire ses nombreuses admiratrices... Hélas pour elles, Christophe Michalak est un homme casé et heureux en ménage. Bien loin de la figure paternelle : "Comme mon père était coureur, je n'ai jamais voulu lui ressembler. J'ai trouvé mon équilibre avec ma femme." C'est Delphine, humoriste, qui a bien de la chance...

Interview à retrouver dans Ici Paris (en kiosques le 7 juillet 2013)

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