Entre Claire Keim et Bixente Lizarazu, c'est une affaire qui dure. On doit leur complicité à toute épreuve à une rencontre providentielle. C'était en juillet 2006. "Les sentiments amoureux jouent parfois des tours à certaines personnes, je sais. Moi, j'ai su immédiatement que c'était lui... Je n'ai eu aucun doute, à aucun moment, jamais", avait confié l'actrice de Harcelés (TF1), en 2011 à TV Grandes Chaînes.
Alors qu'elle s'était promis de ne pas avoir d'enfants, sa rencontre et ses sentiments pour Bixente Lizarazu l'ont totalement faite changer d'avis. Deux années après leur coup de foudre, Claire Keim accouche d'une petite fille prénommée Uhaina, qui signifie "vague" en basque. Une belle référence aux origines basques du champion du monde 1998. "J'avais juré que je n'aurais pas d'enfants. Pourtant, quand mon homme est arrivé, l'enfant a été une évidence", affirmait Claire Keim lors du même entretien.
Leur recette du bonheur ? Préserver leur intimité mais surtout leur amour. Ensemble, ils ont choisi de ne jamais se marier. "Il est plus joli de savoir que l'on est libre de partir et de rester ensemble", confiait Claire Keim dans un entretien à Femme Actuelle. Malgré la célébrité, les rumeurs et médisances, les deux personnalités sont ensemble depuis bientôt quinze ans. "Nos obligations professionnelles nous séparent souvent. Finalement, c'est une grande chance que nous avons de nous manquer. Nous n'avons pas d'habitudes, pas de quotidien, pas de routine. C'est beaucoup plus difficile de se lasser de quelqu'un qui vous manque tout le temps", détaillait-elle auprès de Paris Match.
Déjà papa d'un garçon prénommé Tximista ("éclair" en basque), âgé d'une vingtaine d'années aujourd'hui, Bixente Lizarazu ne pourrait pas être plus comblé par sa vie de famille. Avec Claire Keim, ils s'étaient rapidement installés au Pays-Basque, partageant leur vie entre la Capitale et le Sud-Ouest. "Ici, je me pose. Je débranche mon cerveau. Quand je vais quatre jours à Paris, j'ai ma dose (...) J'ai ma maison, mes spots, mais je ne les dis plus, le plaisir de prendre mon bateau pour aller surfer, pique niquer dans des petits coins. Je continue le juji-tsu brésilien, chez moi, et je fais du vélo", développait-il dans les colonnes de Sud Ouest. Un équilibre gagnant.