Entre Daphné Bürki (35 ans) et Sylvain Quimène, alias Gunther Love, c'est le grand amour. Interviewée dans l'émission Tout et son contraire (France Info), l'animatrice de La Nouvelle Édition sur Canal+ est revenue sur leur étrange rencontre.
Après s'être intéressé au passé professionnel de la jeune femme, Philippe Vandel a voulu en savoir plus sur son couple. Pour cela, il a sorti de ses dossiers une citation bien étrange de Sylvain Quimène pour Be Magazine, qui relatait leur rencontre : "C'était au festival de Cannes, après un show des Airnadette [troupe dont fait partie Sylvain Quimène, NDLR] au Baron, devant les toilettes. Elle m'a seulement dit : 'Tu es fier de toi, je vais pisser."" Une drôle d'approche et d'accroche de la part de l'animatrice, qui était d'ailleurs morte de rire à l'antenne en découvrant ce qu'avait dit son compagnon. "C'est vrai, je ne savais pas qu'il l'avait dit !", a-t-elle ajouté.
Après cette étrange révélation, la présentatrice a précisé que sa relation avec le père de sa fille Suzanne (2 ans) n'a pas débuté par une histoire d'amour : "Au départ c'était mon meilleur ami et après nous nous sommes rendus compte que nous étions complètement love."
Concernant son émouvant message du 16 novembre dernier dans La Nouvelle Édition, suite aux attentats de Paris, Daphné Bürki ne s'est pas rendue compte que sa voix était tremblante. Il faut dire que le drame l'a particulièrement touchée. "Ça fait des années que je vais au Bataclan, que je bois des coupes au Carillon et que je roule des patins à des ex sur cette terrasse. J'ai beaucoup d'amis miraculés, d'autres qui sont partis. Il fallait prendre la parole", explique-t-elle.
Ce jour-là, l'animatrice ouvrait son émission avec un message fort : "Bonjour et bienvenue dans La Nouvelle Édition. Nous sommes le 16 novembre 2015. Je m'appelle Daphné Burki, je suis Parisienne, je suis Française. Sur mon bras il est tatoué 'Paris', ma ville dont je suis fière, celle où on danse, celle où on s'instruit, celle où l'on s'embrasse. Celle qui est libre. J'ai une autre phrase tatouée, 'Don't Stop me Now', ne m'arrêtez pas maintenant, ne m'arrêtez jamais. Je devais aller écouter hier soir du rock au Bataclan, les Deftones, et ce soir je devais aller à Bercy secouer ma tête sur les Foo Fighters. Je fais partie de cette génération qu'ils ont voulue anéantir vendredi. Ils ont pris mes amis, nos amis. Ce n'est que partie remise. N'ayons pas peur, gardons la tête haute et soyons solidaires."