Mi-avril, Debbie Rowe révélait non sans une certaine fierté au site TMZ s'être fiancée à son compagnon de longue date Marc Schaffel. Comblée par l'idée de convoler à nouveau en justes noces, l'ex-épouse de Michael Jackson (elle fut mariée au Roi de la pop de 1996 à 1999) n'avait d'ailleurs pas manqué dans la foulée de s'afficher amoureuse et arborant un gros diamant à l'annulaire gauche, sur un cliché publié sur sa page Facebook. Mais si à 55 ans, la mère biologique de Prince et Paris Jackson (17 et 16 ans) a retrouvé le chemin du bonheur, le site RadarOnline sort de l'ombre quelques vieux dossiers venant pointer du doigt le passé trouble de son futur mari, ancien confident et ami proche de feu Michael Jackson.
Au moment même où Debbie Rowe a relancé les hostilités contre le clan Jackson, réclamant à nouveau la garde des enfants du Roi de la pop (qui, selon elle, ne sont pas assez bien entourés et ne bénéficient pas d'un environnement stable), des éléments concernant Marc Schaffel viennent en effet de refaire surface. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils risquent fort de desservir les intérêts de l'ancienne infirmière. Comme le rapporte RadarOnline, l'homme a en effet été mêlé au scandale d'attouchements sexuels qui a frappé Michael Jackson en 2004 : la maison de Marc Schaffel a même été, à l'époque, fouillée par les autorités locales qui n'avaient cependant pas trouvé d'éléments à charge. Résultat des courses, l'homme n'a jamais été davantage inquiété et de son côté, Michael Jackson fut, pour rappel, blanchi.
Mais toujours selon RadarOnline, Marc Schaffel a par ailleurs fait ses débuts dans le monde du X, pour lequel il a tourné de nombreux films sous le pseudonyme de Marc Frederics - une activité professionnelle pour le moins sulfureuse dont le principal intéressé ne s'est jamais vraiment caché. "Ce n'est pas un secret que mon parcours est dans les films pour adultes. Je ne garde rien pour moi, je suis très ami avec Michael", avait-il ainsi confié dans une interview accordée au Los Angeles Times en 2002. "Faute" avouée à demi-pardonnée ?