Henry Hopper, fils du regretté Dennis Hopper disparu en 2010, se retrouve aujourd'hui au coeur d'une affaire des plus sordides.
Le jeune comédien de 21 ans, révélé dans le long métrage de Gus Van Sant Restless, est en effet accusé d'avoir violé à plusieurs reprises une jeune fille âgée de 15 ans au moment des faits. Selon TMZ, qui révèle l'affaire et s'est procuré la plainte déposée par la mère de la victime, c'est via un ami commun qu'Henry Hopper aurait rencontré sa victime présumée en février 2011.
Des échanges ont suivi via Facebook, et le jeune homme aurait alors invité son interlocutrice identifiée comme Jan Doe (un patronyme utilisé outre-Atlantique pour ne pas révéler une identité ou lorsqu'une personne est inconnue) à le rejoindre dans sa maison de Venice en Californie. Promesses d'alcool et de drogues à la clé.
Selon le document officiel, Henry Hopper aurait alors fait boire la jeune fille jusqu'à ce qu'elle soit dans l'incapacité de résister à "une conduite sexuelle offensive". La plainte parle de sexe oral forcé, de sodomie et de rapports sexuels non consentis. Les avocats de la victime avancent le fait qu'Henry Hopper avait fait sa proie d'une jeune fille impressionnable, lui faisant croire qu'il tenait à elle, l'attirant chez lui en lui promettant des drogues et de l'alcool, pour finalement profiter de sa vulnérabilité et de sa jeunesse.
Aujourd'hui, la mère de Jan Doe justifie sa plainte par les traumatismes physiques et émotionnels de la jeune fille, ainsi que par les nombreux traitements psychologiques qu'elle suit depuis les faits. Des accusations graves auxquelles Henry Hopper n'a pour le moment pas réagi.