Elie Semoun gardera à n'en pas douter un souvenir ému de son périple au Canada... et de tous les moments où il lui a fallu braver sa peur du vide ! Après s'être retrouvé pendu à un fil tout en haut de la CN Tower de Toronto, l'humoriste de 54 ans a découvert pour la première fois de sa vie les chutes du Niagara sous toutes les coutures, y compris par la voie des airs.
Pour le deuxième volet de son périple en Ontario à l'invitation de Canada Diem, Elie Semoun a quitté Toronto et fait escale dans le vignoble d'Inniskillin afin d'y déguster un peu du fameux vin de glace qu'on y produit depuis une quarantaine d'années. De quoi se donner du courage pour la suite et pour remonter dans l'hélicoptère, moyen de transport qui ne semble pas le rassurer outre-mesure : "Si jamais il y a une merde... Oh pu*ain !", lâche-t-il. Avant de retrouver son sens de l'humour : "Si jamais ça se passe mal, moi je peux prendre les commandes, hein. J'ai les lunettes, j'ai le casque et j'ai le blouson." Mouais. Mieux vaut éviter que cela se passe mal !
L'appréhension passée, l'artiste français va vivre une "expérience inoubliable", observant depuis le ciel la force impressionnante des chutes du Niagara, avant, plus conventionnellement, d'embarquer sur un bateau et d'endosser un poncho imperméable pour la vivre de l'intérieur. "Là, on vit une aventure", se réjouit un Elie tout trempé. Il aura ensuite l'occasion de sécher en empruntant la tyrolienne de 670 m de longueur qui offre un point de vue sans pareil – et à 70 km/h – sur les chutes mondialement renommées.
Retour à Toronto et direction le Rogers Centre pour un match des Blue Jays, la franchise de base-ball qui fait vibrer les habitants de la ville. Jersey officiel, casquette et hotdog, Elie Semoun est fin prêt. Ou presque : "J'ai rien compris mais j'ai trouvé ça génial."
L'épisode 1, à (re)voir :