Ellen Pompeo : Son mari jaloux des scènes de sexe dans Grey's Anatomy ? "C'était gênant !"

"Ça faisait beaucoup à digérer pour lui au début. Il a vraiment été très fort !" En couple depuis 2003 avec le musicien Chris Ivery, Ellen Pompeo est lucide : son rôle de Meredith Grey n'est peut-être pas facile à gérer pour celui qui partage sa vie. En cause, ses nombreuses histoires d'amour à l'écran et bien sûr, de nombreuses scènes intimes qui peuvent rapidement devenir gênantes.

Dès le premier épisode de la série, Meredith Grey tombe en effet sous le charme du beau Derek Sheperd, joué par Patrick Dempsey, et qui s'avérera être son patron. Et pendant plus de dix saisons, les deux personnages vivent une véritable romance dans l'hôpital. Une situation embarrassante pour le mari d'Ellen Pompeo, selon les confidences de l'actrice dans le podcast Ladies First.

"Le pauvre, il n'avait aucune idée de ce qui l'attendait. Je me rappelle qu'au début, c'était très compliqué pour lui. Il me disait : 'Je n'ai pas signé pour ça. Tu vas au travail et tu embrasses ça ! J'aime bien Patrick et tout, c'est un bon gars, mais vraiment ? Vous, les actrices, vous êtes complètements folles. Comment suis-je censé supporter ça ?'"

Une situation difficile pour le père des trois enfants d'Ellen Pompeo (Sienna, Stella et Eli) et qui s'est répétée lorsque sa femme a dû, cette fois, embrasser le bel Italien Andrew DeLuca, interprété par Giacomo Gianniotti. Il en avait d'ailleurs parlé lui-même pour US Weekly il y a quelques mois : "Elle joue, mais elle a maintenant ce nouvel amant que je connais, Giacomo [Gianniotti, NDLR]. C'est un mec génial. En fait je l'aime bien, mais c'est gênant", avait-il expliqué.

Se décrivant comme un homme "pas jaloux et vraiment confiant", il a pris une décision radicale : "Il y avait une époque dans la journée où je regardais beaucoup la série, mais elle n'avait pas de scènes d'amour. [...] Je n'ai pas regardé ces scènes [récemment] car je sens que cela peut-être gênant". Un bon moyen de ne pas être envieux des amants fictifs de sa femme qui l'assure : "C'est réellement ma personne préférée au monde".

Alors, on serait lui, on en profiterait !