Samedi 5 octobre 2024, Cyril Hanouna était aux commandes d'un nouveau numéro de l'émission Face à Hanouna sur C8. Pour rappel, il s'agit là d'une déclinaison de son talk-show emblématique, Touche pas à mon poste. Au cours du programme, l'animateur a reçu plusieurs invités. Vers la fin de l'émission, ce fut au tour de Chantal Goya d'arriver en plateau. Face à Cyril Hanouna, la chanteuse a notamment évoqué ses problèmes financiers. "Je suis une des rares artistes à avoir emprunté de l'argent pour payer mes impôts. Ça n'existe pas, hein ! En général, ils s'en vont. On les voit partir et ils ne reviennent plus", a premièrement lancé celle qui a récemment affirmé ne toucher que 600 euros par mois de retraite. Bien évidemment, l'animateur a voulu connaître les raisons qui ont poussée son invitée à contracter un prêt dans le but de payer ses impôts. "J'ai emprunté de l'argent parce que c'était comme ça dans ma tête et c'était important", lui a-t-elle répondu.
Lorsque Cyril Hanouna a demander à Chantal Goya si elle avait terminé de rembourser ce fameux prêt, la chanteuse lui a rétorqué de manière assez cash : "Non, pas du tout. Mais c'est pas grave, on va continuer." Une réponse qui n'a pas manqué de surprendre toutes les personnes qui étaient présentes en plateau à ce moment précis. Par le passé, l'avocat de la musicienne avait déjà évoqué l'existence de ce fameux prêt lors d'une interview accordée au journal régional Sud Ouest. "Oui, ce prêt existe. Mais Chantal Goya et son mari ne sont pas au coeur d'une enquête judiciaire. Il n'y a aucune enquête ouverte par le parquet les concernant", avait-il premièrement souligné. Par la suite, le représentant légal de Chantal Goya avait précisé que ce prêt, qui fut contracté "avec un taux d'intérêt élevé", a "essentiellement servi à envoyer un gros chèque à Bercy".
De son côté, la musicienne avait évoqué pour la première fois des problèmes d'argent il y a environ une dizaine d'années dans les colonnes du Parisien. "Le matin, dès le réveil, j'attaque les problèmes, je règle tout, banques, factures, huissiers - j'ai connu, eh oui, dans le passé ! - et hop, poliment et fermement, je propose : 'Comment peut-on arranger cela ?'. En général, l'interlocuteur apprécie. Ensuite je m'engage à respecter l'échéancier arrêté", avait alors expliqué Chantal Goya.