Eva Longoria se sépare de son manoir à Los Angeles estimé à plusieurs millions et s'installe dans un pays européen

C'est une période compliquée pour les stars américaines qui ont décidé de soutenir Kamala Harris lors de l'élection présidentielle américaine. Alors que les soutiens de Donald Trump fanfaronnent depuis sa victoire le 5 novembre dernier, les célébrités qui se sont rangées derrière la candidate démocrate font grise mine. Parmi elles, on trouve l'actrice Eva Longoria qui n'a pas hésité à donner son point de vue avant l'élection. "Ce qui est choquant (...) c'est qu'un criminel condamné qui vomit tant de haine puisse occuper la plus haute fonction", lance-t-elle dans une interview accordée à Marie Claire.

Celle que l'on a vu radieuse et survoltée non loin de l'iconique Jean Reno il y a quelques jours, ne semble pas franchement fan du mari de Melania Trump. "S'il tient ses promesses, ce sera un endroit effrayant (...) Je peux m'échapper et aller quelque part. La plupart des Américains n'ont pas cette chance. Ils vont se retrouver coincés dans ce pays dystopique", poursuit l'ex de Tony Parker. L'actrice de Desperate Housewives a d'ailleurs ajouté les actes à la parole puisqu'elle a décidé de quitter son manoir de Beverly Hills, d'une valeur de 15 millions de dollars pour s'installer en Espagne avec son compagnon, José Antonio Bastón et leur fils de 6 ans.

L'actrice qui a fait des confidences sur son enfance avec sa soeur, qui souffre d'un handicap mental, quitte Los Angeles et sa spectaculaire maison comprenant huit chambres et onze salles de bains (les photos sont à retrouver dans le diaporama). Une demeure achetée en 2017 pour 13,5 millions de dollars, mais sa valeur a depuis grimpé en flèche. Le manoir comprend une piscine extérieure, une aire de jeux pour enfants et un terrain de pickleball. Et visiblement, Eva Longoria ne compte pas revenir s'installer dans l'État le plus peuplé des États-Unis de si tôt. "Le Covid est arrivé, et cela a tout poussé à l'extrême. Que ce soit le problème des sans-abris ou les taxes, ce n'est pas que je veux critiquer la Californie – c'est juste que ce chapitre de ma vie est maintenant terminé", explique-t-elle au magazine Marie Claire.