Non pas un mais deux départs lors du dernier épisode de Koh-Lanta, La Tribu maudite, diffusé mardi 15 octobre dernier sur TF1. Sarah a été éliminée au conseil tandis que Maud a quitté le jeu après être arrivée dernière lors du jeu de confort. Auprès de Purepeople, cette grande championne qui a participé aux Jeux Olympiques se livre sur son aventure, et notamment sur sa relation particulière avec Gustin. Le duo n'affichait pas de grande complicité sur le camp et Maud le confirme. A l'origine de tout cela, une phrase prononcée par le grand blond qui n'est absolument pas passée.
Le comportement de Gustin a surpris les ex-jaunes sur le camp blanc...Qu'en pensez-vous ?
Pour nous, le comportement de Gustin était devenu une normalité parce que ça faisait bien 15 jours qu'on le vivait quotidiennement, à le voir allongé par terre et ne plus rien faire. Mais bon, c'est Gustin quoi... Je ne sais plus quoi dire d'autre. Quand on était en équipe, je comprends qu'il se repose un peu et se donne à fond sur les épreuves. Mais en individuel, on a besoin que tout le monde y mette du sien. Et là, c'est vrai que sur les premiers moments de la réunification, il s'écroule sur le camp des rouges...
Sur les réseaux sociaux, certains estiment que les filles ex-rouges "s'acharnent" sur Gustin. Qu'en pensez-vous ?
Ce n'est absolument pas mon ressenti. Je pense que ça doit être des messages de Gustin ça (rires). Plus sérieusement, Gustin est une personne individualiste qui ne pense qu'à lui. Dès qu'on lui dit "non" pour quelque chose, il n'apprécie pas. Je n'ai jamais accroché avec lui sur le côté affinités parce qu'on a vraiment des valeurs totalement opposées. Je vais redire la phrase qu'il nous a sortie au bout de trois jours d'aventure : "Un homme faible vaut toujours plus qu'une femme forte." En 2024, ce n'est pas possible d'entendre des phrases pareilles. Ça m'a choquée dès le début. Je me suis dit : "Mais ce n'est pas possible !" Gustin, c'est aussi quelqu'un qui se plaignait à longueur de journée, il a le syndrome de Caliméro comme je dis. On n'a pas le droit de se plaindre dans ces conditions. Il y a 40 000 personnes qui rêvent d'être là, tu as été choisi, sélectionné donc tu acceptes. En plus, tu sais que ça va être dur. Donc en fait c'est juste qu'on n'a pas les mêmes valeurs, chacun les siennes.
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