À l'instar du roi Philippe et de la reine Mathilde de Belgique en début de mois à Verbier, le roi Willem-Alexander et la reine Maxima des Pays-Bas avaient donné ce lundi 22 février rendez-vous à la presse, comme c'est la tradition, sur les pistes de Lech am Arlberg (Autriche) à l'occasion de leur séjour annuel aux sports d'hiver. À la différence près qu'avec la famille royale néerlandaise, c'est toujours en grand comité !
Si la princesse Mabel, veuve du prince Friso, cadet des trois fils de la princesse Beatrix, décédé à suite d'un accident survenu sur ces pentes du Tyrol en 2012, ne participait pas – contrairement à l'an dernier – au séjour avec ses filles Luana et Zaria, le couple royal et l'ancienne monarque avaient avec eux la famille du prince Constantin. Le petit frère du roi Willem-Alexander et son épouse la princesse Laurentien, qui sont d'un précieux soutien pour le souverain, ont eux aussi pris la pose, avec leurs trois enfants : la comtesse Eloise (13 ans), le comte Claus-Casimir (11 ans) et la comtesse Leonore (9 ans). Devant les photographes, ceux-ci ont montré leur grande complicité avec leurs cousines la princesse héritière Catharina-Amalia (12 ans), la princesse Alexia (10 ans) et la princesse Ariane (8 ans) : quand elles n'étaient pas occupées à coller affectueusement leur papa, les filles de Willem-Alexander et Maxima chahutaient volontiers entre jeunes ! Les reporters n'ont pas manqué non plus d'immortaliser les plus grands en train de skier.
La reine Maxima doit particulièrement apprécier ce break hivernal en famille, après les dernières semaines riches en déplacements officiels, au Pakistan, en Belgique et en Norvège.
Tandis que le clan royal prenait la direction du Tyrol, à La Haye, le Parlement se réunissait en fin de semaine dernière pour discuter au cours d'une séance à huis clos de l'avenir du palais Soestdijk : l'édifice est inoccupé depuis la mort de la reine Juliana et du prince Bernhard, en 2004... Jardin botanique ? Espace culturel ? Centre d'affaires ? Lieu d'exposition ou d'événementiel ? Le mystère reste entier, sauf sur un point : l'État ne payera pas la facture des rénovations.