Réactualisation du 26 janvier, 11h45 : Nouvelle péripétie dans la seconde vie de l'ex-star d'Arnold et Willy, Gary Coleman. Si nous vous annoncions hier que l'acteur avait été arrêté pour des faits de violences conjugales, il n'en est rien. Son avocat, Randy Kester, a tenu, par le biais du magazine américain People, à démentir cette information. Pourtant, ledit avocat semble un brin largué sur l'actualité judiciaire de son client : s'il infirme, à l'instar des services de police, les accusations de violences et fait valoir que Gary Coleman a été arrêté pour n'avoir pas répondu à une convocation devant le tribunal, Randy Kester semble tout ignorer de l'affaire pour laquelle son client devait comparaître et ne s'est pas présenté !
Une non-présentation qui a valu l'édition d'un mandat d'arrêt à son nom : or, il y a eu coïncidence. Si la police de Santaquin City (Utah) confirme avoir répondu dimanche à un appel concernant des troubles à l'ordre public impliquant Coleman, elle précise qu'aucune charge n'a été retenue contre l'acteur et que le mandat d'arrêt à son nom n'avait aucun lien avec cette histoire. Incarcéré, Gary Coleman a depuis réglé sa caution et recouvré sa liberté.
Gary Coleman, 41 ans, le facétieux Arnold de la série Arnold et Willy, continue de squatter la une des journaux et toujours à la rubrique des faits divers.
Dans l'après-midi de dimanche, la police est venue l'arrêter suite à une plainte déposée à son encontre, pour violences conjugales. Il a été immédiatement incarcéré à la prison de Santaquin, dans l'Utah. Une caution de 1 725 dollars est demandée pour sa libération, somme que personne ne semble vouloir régler pour l'instant. L'identité de la victime n'a, à l'heure actuelle, pas été dévoilée.
Les années passent et la vie de Gary Coleman n'est plus qu'une succession de mésaventures.
Au début du mois de janvier, il a été hospitalisé d'urgence pour des problèmes cardiaques. En 2008, son ex-femme Sharon Price le poursuivait devant les tribunaux, elle aussi pour violences conjugales. La même année, il avait embouti le véhicule d'un de ses rares admirateurs qui lui demandait un autographe, à la sortie d'un bowling.