Du prince George de Cambridge et du président Barack Obama, lequel était le plus honoré de rencontrer l'autre ? Contre toute attente, il semblerait que ce soit celui qui a déjà atteint – depuis un bout de temps ! – l'âge de raison...
Invité vendredi dernier, ainsi que son épouse Michelle Obama, du prince William, de la duchesse Catherine et du prince Harry, qui recevaient le couple présidentiel à dîner à la maison au palais de Kensington, le chef d'État américain était ravi, à l'approche de la fin de son second mandat et de son départ de la Maison blanche, de pouvoir faire la connaissance du futur roi d'Angleterre en herbe : le prince George, qui aura 3 ans le 22 juillet prochain, est ainsi venu le saluer... avant d'aller se mettre au lit. Tout mignon en pyjama et robe de chambre – à ses initiales – de la marque My 1st Years (un produit tombé en rupture de stocks en quelques instants, avec une vente à la seconde sur Internet au plus fort de la razzia !) et visiblement intimidé devant ce visiteur encore plus imposant qu'il ne pouvait l'imaginer, le fils de William et Kate s'est ensuite lâché, le temps d'une démonstration sur le cheval à bascule que Barack Obama avait fait parvenir en cadeau pour sa naissance.
Pour l'occasion, George a eu droit à 15 minutes de rab sur l'heure habituelle du coucher, et le POTUS n'a pas boudé son plaisir. D'ailleurs, à l'en croire, il avait traversé l'Atlantique spécialement pour ces moments privilégiés : "Je parie que vous savez tous pourquoi je suis venu cette semaine. Ce n'est pas un secret. Rien n'aurait pu m'empêcher de venir souhaiter un joyeux anniversaire à Sa Majesté ni de rencontrer George, qui a été adorable", a ainsi déclaré Barack Obama, avec l'humour qu'on lui connaît, lors d'une conférence de presse donnée le lendemain.
Dans les heures qui avaient précédé son arrivée à Kensington Palace, le dirigeant américain avait profité d'un déjeuner au château de Windsor en compagnie de la reine Elizabeth II et de son époux le duc d'Edimbourg, qui avait même joué les chauffeurs pour la circonstance, avant de rencontrer le Premier ministre britannique David Cameron et de se présenter avec lui devant la presse.