Gérard Depardieu à Lyon au mois d'octobre 2011© Abaca
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Gérard Depardieu a fêté Noël dans le costume de Raspoutine, avec la diffusion sur France 3 le 25 décembre d'un téléfilm épique réalisé par son amie Josée Dayan - qui l'a déjà dirigé plusieurs fois à la télévision, comme dans le Comte de Monte-Cristo - retraçant la vie de ce personnage mystique et mythique de l'histoire russe.
Les résultats en termes d'audience n'ont pas été aussi glorieux qu'espérés, puisque cette oeuvre se place en quatrième position, après TF1 et Arthur et les Minimoys (3,5 millions de téléspectateurs en moyenne soit 16,4% de part d'audience), France 2 et La Première Etoile de Lucien Jean-Baptiste (3,5 millions de téléspectateurs en moyenne soit 16% de part d'audience) et M6 et le grand bêtisier présenté par Alex Goude (2,9 millions de téléspectateurs en moyenne soit 14,8% de part d'audience). Raspoutine de Josée Dayan avec Gérard Depardieu sur France 3 se contentera de 2,5 millions de téléspectateurs en moyenne, soit 11,7% d'audience.
Un résultat décevant, mais cela n'empêche pas le monstre sacré du cinéma qu'est Gérard Depardieu de continuer à faire du bruit médiatiquement. Attendu dans Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté, il a multiplié les interviews, et la dernière en date, offerte au Journal du dimanche, ne passe pas inaperçue. Féru de propos provoquants - Juliette Binoche et d'autres s'en souviennent encore -, il s'est exprimé de manière très posée au JDD, parlant politique et revenant même sur l'affaire du "pipi dans l'avion" en clamant : "J'ai fait ce que je devais faire."
Pour Raspoutine, Gérard Depardieu, adulé en Russie, a bénéficié de l'aide de Vladimir Poutine : "Il nous a ouvert les portes de la Russie." Cependant, lorsqu'on lui demande s'il a de la sympathique pour l'homme politique avec qui il a passé une soirée chaleureuse lors d'un gala de bienfaisance en décembre 2010 : "Je ne fais pas de politique, ce n'est pas mon métier." Certes, mais il se dirige sur ce terrain en parlant de notre président de la République : "Tout le monde sait que les erreurs faites par Sarkozy les trois premières années de son quinquennat sont rattrapées. Ce sera sans doute vers lui que j'irai." Une déclaration qui lui aura valu d'affoler la toile, notamment sur Twitter : "Depardieu dit que les erreurs de Sarkozy ont été rattrapées. Ah! Et par qui ?" écrit Christopher Ramoné. Guy Birenbaum dira lui : "Politique, les people devraient la boucler."
Alternant les sujets, il fait part de son aversion pour les fêtes, des vacances et même le 27 décembre, date de son anniversaire : "Je préférerais avoir un pistolet et essayer de braquer une banque." L'allergie de Depardieu aux fêtes peut s'expliquer par un manque qui l'envahit encore plus dès l'automne, provoqué par son fils, Guillaume, décédé en octobre 2008: "Ça fait trois mois que je ne suis pas bien. Mais ce n'est pas grave parce que Guillaume est soulagé. L'entrée de l'hiver et les nuit les plus longues me ramènent à Truffaut, Pialat, Barbara, Carmet et à leurs doux sourires. Ce sont tous des poètes et les poètes ne meurent jamais."
Les résultats en termes d'audience n'ont pas été aussi glorieux qu'espérés, puisque cette oeuvre se place en quatrième position, après TF1 et Arthur et les Minimoys (3,5 millions de téléspectateurs en moyenne soit 16,4% de part d'audience), France 2 et La Première Etoile de Lucien Jean-Baptiste (3,5 millions de téléspectateurs en moyenne soit 16% de part d'audience) et M6 et le grand bêtisier présenté par Alex Goude (2,9 millions de téléspectateurs en moyenne soit 14,8% de part d'audience). Raspoutine de Josée Dayan avec Gérard Depardieu sur France 3 se contentera de 2,5 millions de téléspectateurs en moyenne, soit 11,7% d'audience.
Un résultat décevant, mais cela n'empêche pas le monstre sacré du cinéma qu'est Gérard Depardieu de continuer à faire du bruit médiatiquement. Attendu dans Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté, il a multiplié les interviews, et la dernière en date, offerte au Journal du dimanche, ne passe pas inaperçue. Féru de propos provoquants - Juliette Binoche et d'autres s'en souviennent encore -, il s'est exprimé de manière très posée au JDD, parlant politique et revenant même sur l'affaire du "pipi dans l'avion" en clamant : "J'ai fait ce que je devais faire."
Pour Raspoutine, Gérard Depardieu, adulé en Russie, a bénéficié de l'aide de Vladimir Poutine : "Il nous a ouvert les portes de la Russie." Cependant, lorsqu'on lui demande s'il a de la sympathique pour l'homme politique avec qui il a passé une soirée chaleureuse lors d'un gala de bienfaisance en décembre 2010 : "Je ne fais pas de politique, ce n'est pas mon métier." Certes, mais il se dirige sur ce terrain en parlant de notre président de la République : "Tout le monde sait que les erreurs faites par Sarkozy les trois premières années de son quinquennat sont rattrapées. Ce sera sans doute vers lui que j'irai." Une déclaration qui lui aura valu d'affoler la toile, notamment sur Twitter : "Depardieu dit que les erreurs de Sarkozy ont été rattrapées. Ah! Et par qui ?" écrit Christopher Ramoné. Guy Birenbaum dira lui : "Politique, les people devraient la boucler."
Alternant les sujets, il fait part de son aversion pour les fêtes, des vacances et même le 27 décembre, date de son anniversaire : "Je préférerais avoir un pistolet et essayer de braquer une banque." L'allergie de Depardieu aux fêtes peut s'expliquer par un manque qui l'envahit encore plus dès l'automne, provoqué par son fils, Guillaume, décédé en octobre 2008: "Ça fait trois mois que je ne suis pas bien. Mais ce n'est pas grave parce que Guillaume est soulagé. L'entrée de l'hiver et les nuit les plus longues me ramènent à Truffaut, Pialat, Barbara, Carmet et à leurs doux sourires. Ce sont tous des poètes et les poètes ne meurent jamais."