C'est l'une des voix les plus célèbres du sport français. Grégoire Margotton est, depuis mai 2016, le commentateur officiel des matchs des Bleus sur TF1. Aux côtés de Bixente Lizarazu, il forme un duo très apprécié des Français. Une doublette qui fonctionne très bien à l'antenne et qui s'apprécie également beaucoup en dehors. Cette amitié s'est notamment resserrée au moment de la coupe du monde 2018 et la victoire de l'équipe de France. "Nous avons vécu quelque chose de très fort professionnellement et cela a renforcé nos liens. Mais depuis que nous travaillons ensemble, il existe une fluidité naturelle entre nous", reconnaît Bixente Lizarazu dans les colonnes du Figaro de ce mercredi 23 juin.
En Russie nous étions ensemble non-stop et nous bougions d'une ville à l'autre. Cette fois c'est différent.
Ensemble pendant un mois de compétition, les deux hommes ont pu partager la bonne nouvelle de la naissance du cinquième enfant du présentateur de 51 ans. Une naissance dévoilée par l'ancien footballeur, et qui a quelque peu bouleversé les habitudes des deux hommes. "En Russie (ndlr : pour la coupe du monde 2018) nous étions ensemble non-stop et nous bougions d'une ville à l'autre. Cette fois c'est différent, d'autant que Grégoire vient d'être papa pour la cinquième fois donc il est reparti à Paris pendant que je restais à Rome. Pour l'instant, nous n'avons pas eu encore beaucoup de temps ensemble", dévoile le champion du monde 98 âgé de 51 ans.
Même si la dynamique n'est pas la même, l'ancien arrière gauche du Bayern Munich continue de vivre une relation très amicale avec Grégoire Margotton. "On aime bien se marrer. J'adore le titiller et même le déstabiliser un peu et ça le fait rire. À l'antenne, on reste professionnels tout en ayant parfois des traits d'humour mais on ne peut pas faire des private jokes tout le temps !", détaille l'ex d'Elsa Lunghini, en couple avec Claire Keim et papa de deux enfants (Uhaina et Tximista).
L'intégralité de l'interview de Bixente Lizarazu est à retrouver dans l'édition du 23 juin 2021 du Figaro.