Plus rare sur les écrans, Gwyneth Paltrow n'a rien perdu de sa superbe, bien au contraire. L'actrice oscarisée de Shakespeare in Love vient justement de nous le prouver. Invitée sur la couverture du dernier numéro du magazine Harper's Bazaar, la star de 44 ans a sorti l'artillerie lourdes et les atouts charme pour aimanter les regards. Après s'être dévoilée au naturel, c'est dans un tout esprit qu'elle s'affiche...
Très glamour et sexy, la belle a posé pour le talentueux Alexi Lubomirski, au beau milieu d'une grande surface. En ligne de mire notamment, un cliché destiné à devenir fameux où Gwyneth Paltrow prend la pose, assise sur le tapis roulant d'une caisse du supermarché, magazine sur les genoux, simplement vêtue d'un bikini noir et d'une légère veste de smoking de la même couleur. Sous les yeux d'un couple de retraités pour le moins ébahis, l'ex de Chris Martin exhibe son corps sculpté, ses abdos et ses jambes longues et fines. Sur une autre photographie, elle apparaît dans une robe noire moulante et fendue au côté d'un caddie rempli de boîtes de céréales – tout ce qu'exècre Gwyneth, ardente adepte du bio et du sans-gluten.
En interview avec le magazine de mode féminine américain, la fondatrice de Goop évoque notamment son statut de mère de famille, elle qui est divorcée de Chris Martin, le leader de Coldplay. "J'ai mis au monde ces deux enfants dans des circonstances particulières et étranges, déclare la mère d'Apple et Moses. Ils vont devoir beaucoup se défendre et se protéger eux-mêmes de beaucoup de projections et de préjugés sur qui ils sont, sur la famille d'où ils viennent. Ma fille est très courageuse, je suis toujours son exemple. Je n'ai en vérité pas besoin de l'encourager à prendre des risques. Elle aime se pousser elle-même, elle veut voir jusqu'où elle peut aller. C'est vraiment inspirant de voir cela dans une si jeune femme."
Alors qu'elle se dénude au fil des clichés en se posant en mère de famille mi-ange mi-démon, Gwyneth Paltrow qui fut la plus belle femme du monde en 2013 selon People évoque l'image qu'elle a d'elle-même. "Quand j'ai débuté, je gardais tout ce qui avait été écrit à mon propos. Au départ, il n'y avait que des bonnes choses, puis ça a commencé à changer. J'ai appris très vite, 'ceci n'est pas bon, ceci ne m'aide pas'. Ces gens étaient étrangers à ma vie, et ils débattaient sur tout, de où j'allais dîner à quel film j'avais choisi de faire, qui je fréquentais...", explique-t-elle, en confiant que traverser ce moment de sa vie avait été "un exercice très important".