Ils se sont dit oui il y a moins d'un mois, et les voilà sur les marches du prestigieux Festival de Cannes. Ian Somerhalder a joint l'utile à l'agréable en acceptant l'offre d'Azzaro de venir promouvoir son nouveau parfum pour homme. Arrivé ce 20 mai à Nice, le beau gosse américain était accompagné de sa jeune épouse, la non moins belle Nikki Reed (vue dans la saga Twilight). Les amoureux profitent donc de Cannes pour nous offrir leur toute première apparition publique et officielle depuis leur mariage.
Une arrivée sur la Côte d'Azur qui n'est d'ailleurs pas passée inaperçue, les fans attendant depuis longtemps la venue de la star de Vampire Diaries. Au Majestic, où il loge avec sa dulcinée, Ian Somerhalder partagera son temps entre ses obligations d'égérie (interviews, montée des marches, soirées...) et son épouse. En fin d'après-midi, appelé à gravir une à une les vingt-quatre marches qui composent ce fameux escalier, le comédien a déclenché une mini-émeute à la sortie de son hôtel, assailli par des fans parfois au bord des larmes. Le séduisant acteur, qui célébrait il y a peu l'anniversaire de sa belle Nikki ("Joyeux anniversaire à la plus incroyable des femmes que je connaisse", écrivait-il sur Twitter), a ensuite pu rallier le Palais des Festivals à quelques mètres à peine du palace.
Sur le tapis rouge, les jeunes amoureux, inséparables, ont bien évidemment rayonné. Très beaux et complices, les tourtereaux ont fait crépiter les flashs. Chic dans son smoking bien évidemment griffé Azzaro, Ian Somerhalder jouait adorablement la carte gentleman, lui qui a été vu aidant à plusieurs reprises sa compagne, visiblement aux prises avec sa cape attachée à sa robe bleu marine Azzaro et victime du vent. Pas étonnant que la jolie Nikki, irrésistiblement amoureuse, finisse par dire qu'elle "l'aime un peu plus chaque seconde", comme le rapportait récemment People...
Somerhalder a ensuite pris le chemin du cocktail Mugler où il était attendu, alors que les stars des marches du soir allaient découvrir Youth, le nouveau film de Paolo Sorrentino.
Christopher Ramoné