Alors que l'été approche et que le mercato ne va pas tarder à se mettre en place en vue de la prochaine rentrée dans les médias, où va atterrir Jean-Jacques Bourdin ? Le journaliste star du petit écran, qui a été écarté plusieurs mois de l'antenne après avoir été accusé de tentatives d'agressions sexuelles - il a bénéficié d'un classement sans suite - ne reviendra pas sur BFMTV et RMC puisque la direction a annoncé que son contrat avait pris fin. Lui-même a réagi rapidement puis sa femme Anne Nivat a elle aussi pris la parole.
Véritable soutien inconditionnel de son mari, la journaliste Anne Nivat s'est étonnement fortement félicitée du fait que Jean-Jacques Bourdin avait été libéré de son contrat ; ce qui ouvre la porte au journaliste à de nouvelles négociations ailleurs même si l'affaire judiciaire contre lui a sans doute abimé son image. "En ce beau mois de juin, ENFIN des bonnes nouvelles ! Quand la vérité a été rétablie, qu'on est LIBÉRÉ et qu'on va continuer ce qu'on aime avec ceux qui en valent la peine, sans se lester des autres, c'est que du bonheur. #vivelejournalisme", a-t-elle écrit sur son compte Twitter, vendredi 17 juin. Un coup de griffes envers ceux qui ont décidé de ne pas poursuivre leur collaboration avec Jean-Jacques Bourdin.
Anne Nivat n'a jamais gardé sa langue dans sa poche dans l'affaire médiatico-judiciaire dans laquelle son mari s'était retrouvé. En avril dernier, alors que l'avenir de Jean-Jacques Bourdin était encore incertain et que celui-ci assurait sur Twitter à ses followers qu'il préparait son retour, elle réagissait déjà à sa mise sur le côté. "Ceux qui t'ont salement écarté de ta passion, de ce que tu fais depuis tant d'années avec professionnalisme sont incapables de saisir le lien qui t'unit à ton public. Ce qui compte c'est pourtant cela : l'amour de son métier et le respect du public", écrivait-elle alors sur Twitter.
Pour rappel, c'est Fanny Agostini qui est à l'origine des plaintes visant Jean-Jacques Bourdin. L'ancienne présentatrice météo du même groupe et ex-animatrice de Thalassa avait raconté à Médiapart que les faits s'étaient déroulés en 2013, lorsqu'elle avait 24 ans. La revue d'investigation avait également recueilli les témoignages d'autres femmes, dont celui de Sidonie Bonnec. Puis, une femme de 61 ans révélait au Parisien avoir déposé plainte au commissariat du XVIe arrondissement de Paris contre Jean-Jacques Bourdin. Elle l'a accusé d'"agression sexuelle", de "harcèlement" et d'"exhibition sexuelle". Des agissements également prescrits car datant de 1988.