Selon le magazine Ciné Télé Revue paru le 7 septembre 2023, Jean-Jacques Goldman serait à la tête d'un énorme pactole "dont les chiffres sont secrets", "rivalise avec ceux de grands patrons". "Plusieurs sources évoquent une rente de plus de 2 millions d'euros de royalties et des revenus colossaux tirés d'un patrimoine immobilier", révèlent nos confrères. En effet, le chanteur de 71 ans est notamment propriétaire d'un hôtel particulier situé dans le 6e arrondissement de Paris selon un article paru dans Le Point en août 2023. Un magnifique bien immobilier qui lui permettrait d'ailleurs de loger sa famille.
Classé en troisième position du classement des ventes françaises derrière Johnny Hallyday et Michel Sardou, l'interprète du titre Il suffira d'un signe a vendu près de 28,5 millions d'albums au cours de sa carrière. Et même s'il n'a pas sorti de musique depuis les années 2000 (son dernier album intitulé Chansons pour les pieds est sorti en 2001), il continuerait donc de toucher de très belles sommes d'argent puisqu'il gagnerait encore "près de 2 millions d'euros de droits d'auteur chaque année" selon un article du journal Capital. Cet argent provient des ventes, écoutes et les diffusions radio de ses chansons. "Ses tubes sont diffusés 80 à 90 fois par jour. Le 8 août dernier, ils ont par exemple résonné... 126 fois sur l'ensemble des ondes françaises" précisent nos confrères.
Il est partout tout en étant invisible
Star du livre Goldman écrit par l'historien Ivan Jablonka, celui-ci est revenu sur la carrière du chanteur et a évoqué sa grande popularité qui semble intemporelle. Elle "ne cesse pas depuis quarante ans, alors qu'il est complètement retourné dans le silence. On est dans une situation d'omni-absence. Il est partout tout en étant invisible" a-t-il confié sur RTL.
D'ordinaire très discret, Jean-Jacques Goldman avait par ailleurs signé une tribune en mai 2021 dans Le Journal du dimanche pour défendre la rémunération sur la copie privée en amont d'une discussion à l'Assemblée Nationale en juin 2021 et qui traitait d'un futur texte de loi sur l'empreinte environnementale du numérique. Selon l'artiste, celui-ci "fragilise encore un peu plus le monde culturel, déjà très affecté par la crise sanitaire".