Hunter, le fils de Joe Biden, est au coeur d'une affaire plutôt embarrassante. D'après de nouvelles informations révélées par le Washington Examiner, il aurait loué les coûteux services de prostitués russes entre novembre 2018 et mars 2019. Le tout financé par l'argent de son père, qui était alors en pleine campagne électorale pour devenir le prochain président des États-Unis. 30 000 dollars auraient été dépensés au total. Les femmes concernées par cette affaire étaient exploitées par des réseaux mafieux et travaillaient en majeure partie pour une "agence de mannequins" non répertoriée.
Le début de l'affaire remonte à l'année 2020 lorsque le journal The New York Post avait révélé, dans une série d'articles, le contenu présumé du disque dur du Macbook Pro de Hunter Biden, qui avait alors oublié son ordinateur dans un centre de réparation du Delaware en avril 2019. L'informaticien en charge de l'appareil avait dû contacter le FBI pour qu'ils viennent le récupérer. Mais une copie du disque dur avait été faite au préalable. Transactions douteuses, selfies avec des pipes à crack ou encore vidéos d'ébats sexuels.... Plusieurs fuites de documents, clairement pas à l'avantage du fils aîné du président américain, l'ont alors plongé dans la tourmente.
Ces nouvelles informations concernant le réseau de prostitution russe sont donc tout simplement la suite de cette fuite de documents. Des nouvelles révélations qui ne sont pas du tout bénéfiques pour Joe Biden puisqu'il aurait participé au financement des entrevues de son fils. Dans un message daté du mois de février 2019, une femme se faisant appeler Eva aurait demandé à Hunter Biden de lui virer de l'argent sur un compte lié à une adresse mail russe.
Dans les heures qui suivent, le successeur de Donald Trump, récemment complice avec sa femme Jill, aurait envoyé 5 000 dollars à son fils via l'application Cash App. Un virement parmi d'autres de la part du président qui aurait notamment viré 100 000 dollars à son fils pour l'aider à payer ses "factures" pendant la campagne électorale, une période qui coïncide étrangement avec les présumées activités à caractère sexuel de Hunter. Pour autant, rien n'indique que Joe Biden savait qu'une partie de cet argent qu'il envoyait à son fils était utilisée à ces fins.