Voilà un "fils de" qui ne suivra pas les traces de son père. A seulement 23 ans, Guillaume Lepers, fils du populaire animateur Julien Lepers, s'est lancé dans une carrière de catcheur. Ce sport, importé des Etats-Unis, fait de plus en plus d'adeptes en France. Mais nul doute que l'ex-présentateur de Questions pour un champion doit avoir peur qu'il se fasse mal sur le ring.
Comme le relate le magazine France Dimanche dans les kiosques ce 20 août, Guillaume Lepers est donc désormais catcheur sous le pseudonyme King Beast (Le roi des bêtes, rien que ça). Et cela fait un certain temps qu'il s'est engagé dans cette voie. "En 2017, afin de se former à toutes les techniques de ce sport de combat spectaculaire - qui s'apparente en réalité plus à un spectacle -, il n'a pas hésité à aller s'entraîner à la Storm Wrestling Academy, au Canada, l'une des meilleures écoles au monde, fondée par le fameux catcheur Lance Storm, à qui le jeune homme voue un culte", peut-on découvrir. Dans ce milieu, certaines figures sont devenues légendaires comme John Cena ou The Rock.
Guillaume Lepers, dont le compte Twitter relate sa passion pour le catch au milieu de publications et partages qui en disent assez long sur ses préférences politiques clivantes, prend comme tous les autres catcheurs le risque de se faire de sales blessures malgré des prestations chorégraphiées et répétées. "Quand, l'été dernier, il s'est fait mettre à terre par Tom La Ruffa, un catcheur au look de viking, il y avait vraiment de quoi s'affoler... d'autant que la scène s'est déroulée dans le jardin de la propriété familiale lors d'un entraînement", lit-on. On comprend alors mieux pourquoi son célèbre papa ne dort sans doute pas totalement sereinement... Heureusement, sa fille Lorraine (27 ans), lui cause nettement moins de sueurs froides, elle dont on avait appris l'intérêt pour l'évènementiel.
En parallèle du catch, Guillaume Lepers tient aussi une chaîne Youtube dans laquelle il commente divers sujets à commencer par le catch - il a mis la pédale douce sur la pratique, au profit d'une analyse de ce sport - en passant par la plateforme OnlyFans, l'amitié filles/garçons ou encore les écoles de commerce...