À compter de ce lundi 15 juin 2020, les fans de Demain nous appartient pourront enfin découvrir des épisodes inédits. Ces derniers avaient dû accepter de s'en passer pendant le confinement et, malgré les efforts d'une poignée de comédiens pour leur proposer du contenu sur YouTube, c'est avec une certaine impatience qu'ils s'apprêtent à suivre la suite des aventures de Rose, Antoine, Judith ou encore Souleymane.
Pendant la crise sanitaire, il y en a toutefois une qui a réussi à passer du bon temps : il s'agit de Juliette Tresanini. Et pour cause, cette pause forcée lui a valu de passer davantage de temps avec son fils, Oscar, âgé de 7 ans et né de ses amours avec le comédien Paul Lapierre. Et l'interprète de Sandrine Lazzari dans la fiction de TF1 n'est pas du genre à priver ses abonnés de l'adorable visage du garçonnet, comme elle l'a encore prouvé dimanche 15 juin 2020.
Sur Instagram, Juliette a partagé une adorable photo de leur duo complice qu'elle légende à l'aide du hashtag "mini me". Un commentaire bien trouvé puisque l'air de famille entre la jeune maman et son fils est saisissant. Et ce ne sont pas les internautes qui diront le contraire ! "Il te ressemble ton fils!", "Quelle ressemblance", "La copie conforme de sa maman !!", "Même regard. Même sourire... même bouille!", constatent les internautes ravis.
Juliette Tresanini ne connaît toutefois pas la crise. Durant le confinement, la comédienne est loin de s'être contentée de jouer les mamans poules avec Oscar. En effet, elle a encore une fois clamé haut et fort son engagement pour l'égalité et l'éducation des jeunes filles, ce qui n'a pas échappé à... Michelle Obama ! L'ancienne First Lady des États-Unis l'a choisie pour représenter sa campagne mondiale Creators for Change on Girls Education (les créatrices pour le changement dans l'éducation des filles) en France. Ensemble, elles ont collaboré sur une vidéo nommée L'École des filles parue le 17 mars dernier. "En arrêtant de mettre les enfants dans des cases, en réintroduisant des modèles féminins dans les manuels d'histoire ou de littérature. À force, cela va donner envie aux jeunes filles de soulever des montagnes", déclarait-elle pour en faire la promotion.