La comédienne Karin Viard© Angeli
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Après un second rôle truculent dans Potiche , qui lui a valu une nomination aux César, Karin Viard revient en haut de l'affiche avec le film de Cédric Klapisch, Ma part du gâteau, en salles le 16 mars. Cette comédie douce et amère s'inscrit dans un contexte social des plus réels : la crise économique. Ainsi, Karin Viard joue une mère de famille de Dunkerque, tentant de trouver un travail à Paris après s'être fait licencier. Elle se fait engager chez un trader (Gilles Lellouche) comme femme de ménage.
Avec ce film, Karin Viard obtient un nouveau rôle de femme forte, loin des clichés, et correspondant à son tempérament de femme très active. Son personnage fait également écho à ses origines, comme elle l'explique dans Télé Star : "J'ai grandi en Normandie, parmi des gens qui n'ont pas les cartes, à qui l'on concède pour seule intelligence d'avoir les pieds sur terre. Longtemps, j'en ai eu honte, je l'ai caché. J'ai tout fait pour échapper à mes racines, venir à Paris. Mais voyez, ce film m'a rattrapée."
Aujourd'hui, la comédienne possède un niveau de vie très confortable, n'en a pas honte, mais elle dit toutefois : "Mes filles [âgées de 11 et 13 ans], elles, ont honte que je gagne autant d'argent. Car dans leur école [Elles fréquentent une école de quartier où tous les milieux sont mélangés, selon les dires de l'actrice dans Madame Figaro], il y a des enfants qui n'ont pas leur chance. Mais l'argent, c'est surtout ce qu'on en fait et comment on le partage. Moi ça me permet de faire de grosses fêtes à la maison et d'inviter tout le monde."
Retrouvez l'intégralité de l'article dans Télé Star du 14 mars.
Avec ce film, Karin Viard obtient un nouveau rôle de femme forte, loin des clichés, et correspondant à son tempérament de femme très active. Son personnage fait également écho à ses origines, comme elle l'explique dans Télé Star : "J'ai grandi en Normandie, parmi des gens qui n'ont pas les cartes, à qui l'on concède pour seule intelligence d'avoir les pieds sur terre. Longtemps, j'en ai eu honte, je l'ai caché. J'ai tout fait pour échapper à mes racines, venir à Paris. Mais voyez, ce film m'a rattrapée."
Aujourd'hui, la comédienne possède un niveau de vie très confortable, n'en a pas honte, mais elle dit toutefois : "Mes filles [âgées de 11 et 13 ans], elles, ont honte que je gagne autant d'argent. Car dans leur école [Elles fréquentent une école de quartier où tous les milieux sont mélangés, selon les dires de l'actrice dans Madame Figaro], il y a des enfants qui n'ont pas leur chance. Mais l'argent, c'est surtout ce qu'on en fait et comment on le partage. Moi ça me permet de faire de grosses fêtes à la maison et d'inviter tout le monde."
Retrouvez l'intégralité de l'article dans Télé Star du 14 mars.