Laurence Boccolini lors de la conférence de presse de rentrée d'Europe 1, à Paris.© BestImage
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Après avoir cartonné dans les années 2000 avec Le Maillon faible devenu l'un des programmes cultes du PAF, Laurence Boccolini connaît aujourd'hui un succès comparable avec Money Drop, un jeu de questions-réponses qui met à rude épreuve les nerfs des candidats. En dépit de son statut de superstar de la télé, elle revendique son droit à la normalité : "Ma vie n'a rien de différent de celle des gens normaux", assure-t-elle dans les pages de Télé 2 Semaines, bimensuel auquel elle accorde un entretien.
Elle en profite pour se confier sur sa vie de femme et de maman. Le prénom de son nouvel amour rayonne sur son pendentif scintillant : Willow. La petite fille est venue au monde alors que la présentatrice télé venait de souffler ses 50 bougies... "Lorsque ma fille est née, mon époux m'a offert ce bijou pour que Willow soit toujours avec moi. J'étais tellement heureuse ! (...) Elle a la beauté de son père et le caractère de sa mère. Comme pour toutes les mamans qui doivent reprendre le travail, la séparation est difficile à vivre", reconnaît Laurence Boccolini.
Complètement gaga de sa fille, elle en vient même à oublier à quoi ressemblait sa vie avant son arrivée. "Elle a presque [effacé les années de galère, de souffrance et d'attente]. On se dit que ça a porté ses fruits. Maintenant, on va essayer d'en profiter !", conclut-elle, optimiste et tournée vers l'avenir.
Laurence Boccolini n'a jamais caché son rêve de devenir mère un jour. En mars 2008, elle dévoilait en effet dans un ouvrage très intime, Puisque les cigognes ont perdu mon adresse, un lourd secret : sa stérilité. Ce que la maman n'a jamais révélé depuis, c'est qu'elle avait entamé des démarches en vue d'adopter. Une longue attente et une profonde douleur qu'elle avait décrites avec franchise dans son ouvrage : "À 10 ans, je voulais 11 enfants. À 15 ans, je revoyais le tout à la baisse, et 6 enfants me semblaient représenter le chiffre du bonheur familial. À 20 ans, je penchais plutôt pour 3 enfants (2 garçons et 1 fille), dans un idéal politiquement correct. Aujourd'hui, à 44 ans, 1 seul enfant comblerait le vide immense de mes bras. Mais cela tiendrait du miracle... Parce que, longtemps, j'ai eu la prétention de croire que la vie m'obéirait toujours au doigt et à l'oeil et qu'il suffirait de décider les choses pour qu'elles arrivent. Je fus, lorsque la réalité me frappa de plein fouet, comment dire... quelque peu contrariée. (...) Alors, puisque les cigognes ont perdu mon adresse, que je puisse au moins leur dire deux mots, afin qu'elles sachent que quelque chose en moi ne cessera jamais de les attendre..."
Joachim Ohnona
Elle en profite pour se confier sur sa vie de femme et de maman. Le prénom de son nouvel amour rayonne sur son pendentif scintillant : Willow. La petite fille est venue au monde alors que la présentatrice télé venait de souffler ses 50 bougies... "Lorsque ma fille est née, mon époux m'a offert ce bijou pour que Willow soit toujours avec moi. J'étais tellement heureuse ! (...) Elle a la beauté de son père et le caractère de sa mère. Comme pour toutes les mamans qui doivent reprendre le travail, la séparation est difficile à vivre", reconnaît Laurence Boccolini.
Complètement gaga de sa fille, elle en vient même à oublier à quoi ressemblait sa vie avant son arrivée. "Elle a presque [effacé les années de galère, de souffrance et d'attente]. On se dit que ça a porté ses fruits. Maintenant, on va essayer d'en profiter !", conclut-elle, optimiste et tournée vers l'avenir.
Laurence Boccolini n'a jamais caché son rêve de devenir mère un jour. En mars 2008, elle dévoilait en effet dans un ouvrage très intime, Puisque les cigognes ont perdu mon adresse, un lourd secret : sa stérilité. Ce que la maman n'a jamais révélé depuis, c'est qu'elle avait entamé des démarches en vue d'adopter. Une longue attente et une profonde douleur qu'elle avait décrites avec franchise dans son ouvrage : "À 10 ans, je voulais 11 enfants. À 15 ans, je revoyais le tout à la baisse, et 6 enfants me semblaient représenter le chiffre du bonheur familial. À 20 ans, je penchais plutôt pour 3 enfants (2 garçons et 1 fille), dans un idéal politiquement correct. Aujourd'hui, à 44 ans, 1 seul enfant comblerait le vide immense de mes bras. Mais cela tiendrait du miracle... Parce que, longtemps, j'ai eu la prétention de croire que la vie m'obéirait toujours au doigt et à l'oeil et qu'il suffirait de décider les choses pour qu'elles arrivent. Je fus, lorsque la réalité me frappa de plein fouet, comment dire... quelque peu contrariée. (...) Alors, puisque les cigognes ont perdu mon adresse, que je puisse au moins leur dire deux mots, afin qu'elles sachent que quelque chose en moi ne cessera jamais de les attendre..."
Joachim Ohnona