Léa Seydoux enflamme les BAFTA : Sirène divine et glamour... mais bredouille

Si elle n'a pas remporté le prestigieux trophée de la star montante, raflé par le jeune Will Poulter (Les Millers, une famille en herbe avec Jennifer Aniston), Léa Seydoux aura néanmoins remporté la palme du look sexy et glamour lors de la grand-messe des BAFTA Awards qui se sont déroulés hier, dimanche 16 février, à Londres.

Divine, la sublime Française s'est illustrée sur le tapis rouge de l'événement dans une superbe robe signée Miu-Miu, associée à une somptueuse parure de boucles d'oreilles du joaillier Chopard ainsi qu'à une coiffure vintage du meilleur effet. Sirène du red carpet, la belle Léa a pris la pose plus sensuelle que jamais devant l'objectif des photographes, non loin des plus grosses pointures du cinéma international - dont Leonardo DiCaprio ou encore Brad Pitt et Angelina Jolie, couple assorti et resplendissant.

Héroïne romantico-sexy, Léa Seydoux a mis à l'amende le reste des guests VIP, faisant honneur au chic et à l'élégance française. D'un bleu profond (clin d'oeil sans doute au titre anglais de La Vie d'Adèle, traduit par Blue is the Warmest Colour) et sertie de pierres brillantes, la tenue de l'actrice jouait par ailleurs sur la transparence, dévoilant une silhouette tonique mais aussi de jolies jambes sveltes et galbées.

En quelques mots, notre Frenchie avait tout d'une déesse hollywoodienne mais cela ne lui a malheureusement pas suffi : malgré sa beauté rayonnante, Léa Seydoux est en effet repartie personnellement bredouille de la prestigieuse cérémonie. D'autant que, triomphal jusqu'à présent, La Vie d'Adèle (Palme d'or 2013) a été grandement boudé par les BAFTA Awards. Nommé dans la catégorie meilleur film en langue étrangère, le très acclamé film d'Abdellatif Kechiche (qui a également fait chou blanc lors des derniers Golden Globes fin janvier) fait partie des oubliés de la cérémonie et a vu le trophée lui passer sous le nez, au profit de La Grande Bellezza.