La vie sans Demain nous appartient devient de plus en plus difficile. D'autant qu'un personnage clé s'apprêtait à faire son grand retour : Clémentine Doucet, que Linda Hardy interprète avec brio depuis l'année 2018. La prof d'EPS, qui s'était éloignée un temps des stades du lycée Paul-Valéry, aurait effectivement dû reprendre du service, mais la pandémie du coronavirus a chamboulé ses plans. Lors d'un live Instagram organisé avec Sylvie Tellier, la comédienne a fait part de sa frustration. "Je devais revenir en avril et en fait les tournages ont été suspendus, a-t-elle rappelé. Je ne sais pas si je vais reprendre juste après le confinement ou si ce sera décalé. Je pense que je serai à l'image cet été ou à la rentrée scolaire. Cela va revenir très vite."
Si les téléspectateurs trépignent d'impatience, pour l'actrice de 46 ans, la situation n'est pas non plus facile. Sur les réseaux sociaux, Linda Hardy n'hésitait pas à faire part de son envie d'intrigue, de soleil et de rigolade. "J'ai hyper hâte de réendosser bientôt le costume (ou plutôt la tenue de sport) de Clémentine Doucet, écrivait-elle au début du mois de mars. Retrouver mes camarades de jeu qui me manquent beaucoup depuis quelques mois ainsi que toutes les équipes, quel pied !!! Je ne vais pas vous mentir, je suis également super heureuse de ce qui se prépare en écriture pour Clémentine." La prochaine arche scénaristique de Demain nous appartient semble mettre Amanda en avant. Les ex de Maxime – Clément Rémiens – ont donc le vent en poupe !
Si Clémentine Doucet n'est plus apparue dans les épisodes, c'est parce qu'elle avait besoin de prendre du recul. Harcelée, enlevée et violée par son avocat Christophe, elle est partie à Toulouse pour aider sa fille Garance à s'installer. Mais elle n'était pas la seule à avoir besoin d'un peu de repos. Pour Linda Hardy, l'expérience se révèle parfois un peu trop forte en émotions. "Je suis très honorée que l'on m'ait donné une intrigue avec autant de choses à jouer, rappelait-elle à Télé Loisirs. Mais j'en suis sortie un peu fatiguée. Quand on passe plusieurs jours à pleurer, c'est fatigant psychologiquement et physiquement. Cela nous atteint physiquement." Espérons qu'on la retrouvera plus en forme que jamais à la sortie du confinement...