Lindsay Lohan souhaiterait customiser son bracelet électronique anti-alcool... Mais elle ignore qu'elle risque la prison si elle cède à cette tentation !© Abaca
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Il y a quelques jours, Lindsay Lohan faisait profil bas : elle risquait 180 jours de prison ferme pour avoir conduit en état d'ébriété en 2007... Elle a échappé de justesse au mandat d'arrêt délivré contre elle, mais ne sort pas de cette affaire sans sanction, pour autant.
Depuis le début de la semaine, LiLo - qui faisait la belle à Cannes, la semaine dernière - est contrainte de porter un bracelet Scram (qui permet de mesurer le taux d'alcoolémie du patient en temps réel) à la cheville, 24 heures sur 24. Une sentence à laquelle elle ne s'est pas opposée, et qui s'associe à un entretien hebdomadaire pour le relevé du compteur du bracelet électronique. Elle devra également assister à des réunions sur les méfaits de l'alcool, à raison d'une fois par semaine...
Mais la modeuse - et ex-conseillère artistique d'Ungaro - qu'elle est, ne supporte pas de garder ce bracelet anti-glam à la cheville sans le customiser. Dans un élan de désespoir, elle a lancé un appel à Chanel via sa page Twitter : "Est-ce que Chanel peut m'envoyer des stickers pour décorer mon bracelet Scram, afin que je puisse au moins porter une robe chic ?", postait-elle, il y a quelques heures. Un message visible par les centaines de milliers de "followers" qu'elle compte.
Souhaitons-lui que cet appel reste sans réponse car Lindsay ignore peut-être ce qu'elle risque si elle cède à la tentation de la customisation de l'appareil électronique : le patient n'est aucunement autorisé à dégrader, altérer ou transformer le bracelet de quelle que façon que ce soit. Si la société Scram considère que l'appareil n'est plus dans son état initial, le juge Marsha Revel peut décider que le contrat qui la lie à la star alcoolique est rompu... et décider de l'envoyer en prison sans autre forme de procès !
JO
Depuis le début de la semaine, LiLo - qui faisait la belle à Cannes, la semaine dernière - est contrainte de porter un bracelet Scram (qui permet de mesurer le taux d'alcoolémie du patient en temps réel) à la cheville, 24 heures sur 24. Une sentence à laquelle elle ne s'est pas opposée, et qui s'associe à un entretien hebdomadaire pour le relevé du compteur du bracelet électronique. Elle devra également assister à des réunions sur les méfaits de l'alcool, à raison d'une fois par semaine...
Mais la modeuse - et ex-conseillère artistique d'Ungaro - qu'elle est, ne supporte pas de garder ce bracelet anti-glam à la cheville sans le customiser. Dans un élan de désespoir, elle a lancé un appel à Chanel via sa page Twitter : "Est-ce que Chanel peut m'envoyer des stickers pour décorer mon bracelet Scram, afin que je puisse au moins porter une robe chic ?", postait-elle, il y a quelques heures. Un message visible par les centaines de milliers de "followers" qu'elle compte.
Souhaitons-lui que cet appel reste sans réponse car Lindsay ignore peut-être ce qu'elle risque si elle cède à la tentation de la customisation de l'appareil électronique : le patient n'est aucunement autorisé à dégrader, altérer ou transformer le bracelet de quelle que façon que ce soit. Si la société Scram considère que l'appareil n'est plus dans son état initial, le juge Marsha Revel peut décider que le contrat qui la lie à la star alcoolique est rompu... et décider de l'envoyer en prison sans autre forme de procès !
JO