Lorie Pester ajoute une nouvelle corde à son arc en menant une nouvelle série documentaire intitulée Brisons le tabou ! et diffusée ce mardi 5 septembre sur RMC Story à 21h10. Un nouveau rôle qu'elle va apprendre à connaître. Et lorsque nos confrères de Télé-Loisirs lui demande si elle a "un modèle parmi les animatrices du petit écran" afin de progresser rapidement dans ce domaine, elle répond : "J'ai pensé à Karine Le Marchand (qui présente notamment L'Amour est dans le pré sur M6, ndlr). Je la trouve lumineuse, bienveillante...C'est la bonne copine ! Elle est toujours dans le bon ton. S'il y a quelqu'un à qui je dois ressembler, j'aimerais que ce soit elle."
Pour rappel, le premier numéro de ce nouveau programme concerne le post-partum, autrement dit la période qui suit l'accouchement. Le second, qui sera diffusé la semaine prochaine, évoquera les règles, et notamment l'endométriose. Des sujets que la célèbre interprète de Ma meilleure amie connait parfaitement, puisqu'elle est elle-même devenue maman en août 2020 d'une fille prénommée Nina (fruits de son amour pour Yann Dernaucourt, le manager d'Eddy de Pretto) et qu'elle est également atteinte de la maladie précédemment évoquée, qui touche 10% des femmes en âge de procréer.
Depuis l'ablation, je revis
Un problème de santé qui la fait beaucoup souffrir. Elle a ainsi subi hystérectomie, autrement dit une ablation de l'utérus. "Je n'avais pas le choix, j'avais trop mal", a-t-elle expliqué à nos confrères de Gala. Pour rappel, l'endométriose provoque des douleurs pelviennes chroniques, des ballonnements, des nausées et de la fatigue, et parfois même une dépression, ainsi que de l'angoisse et une infertilité. Il n'existe actuellement pas de remède contre l'endométriose.
Mais l'hystérectomie est une opération qui permet de soulager les symptômes, ce qui explique ainsi la décision de la chanteuse d'y avoir eu recours. "Pendant la grossesse, il n'y a plus de douleurs car il n'y a plus de règles. Mais après la naissance de Nina, elles sont revenues, et pires qu'avant, ça se répercutait dans mes jambes, dans le dos. J'étais si fatiguée que je tombais dans les pommes. J'avais comme une boule de pétanque dans le ventre. Depuis l'ablation, je revis", avait-elle raconté au magazine.