Surprendre n'est pas toujours une tâche facile. D'autant plus lorsqu'il s'agit de la personne qui vous connaît le mieux. Comme Louis Ducruet le dit si bien lui-même, dans les colonnes de Point de vue, en kiosques ce mercredi 13 avril, Marie Chevallier et lui s'étant connus à l'âge de 19 ans, ils se connaissent aujourd'hui "par coeur". Alors forcément pour lui cacher sa demande en mariage, cela n'a pas été des plus évidents. À nos confrères, le fils de Stéphanie de Monaco et de Daniel Ducruet explique comment il a fait pour que cette demande en mariage reste secrète.
"Je pense à la préparation de ma demande en mariage que j'avais mise en place dans le plus grand secret lors d'un voyage au Vietnam que Marie avait organisé, confie Louis Ducruet. J'avais réussi à ce que cela reste confidentiel, alors qu'elle sait que je ne suis pas toujours capable de garder un secret !" Mais cette fois-ci, le frère de Pauline Ducruet et de Camille Gottlieb a réussi. Le monégasque de bientôt 30 ans, est même plutôt fier de son coup comme il le fait savoir : "Elle n'a rien vu venir."
C'est donc à une date proche de celle de l'anniversaire de leur relation que celui qui rêve aujourd'hui d'agrandir la famille s'est lancé. "Je lui avais demandé de me faire confiance pour organiser ce dîner d'anniversaire, révèle-t-il. Alors que nous préparions nos valises, je lui avais demandé de prendre une belle robe. De mon côté, j'avais prévu d'emporter un costume..." Si Marie Chevallier reconnaît s'être posée quelques questions, elle n'a néanmoins pas tout réalisé.
Lors du dîner dans un endroit somptueux, la jeune femme de bientôt 30 ans lui a alors demandé à quoi ressemblerait sa demande en mariage. Il lui a alors confié qu'il arriverait en parachute au milieu du stade Louis-II de Monaco. Une déclaration qui reste pour la belle-soeur de Camille Gottlieb et Pauline Ducruet son "plus beau souvenir" de ses aveux. "J'avais été touchée par son envie de faire les choses de manière traditionnelle", indique-t-elle après que Louis Ducruet est allé demander sa main à ses frères – son père étant décédé. "Et il m'a fait sa demande dans le pays – et la ville – d'origine de ma mère, conclut Marie Chevallier. C'est très fort."