Dernièrement sur la Toile, Madonna a exprimé son profond mécontentement suite aux critiques virulentes faites par 50 cent à son sujet. Pour rappel, le 25 novembre 2021, la chanteuse de 63 ans avait partagé une série de photos sur lesquelles elle s'affichait très sexy en bas résilles. Une série de photo qui a ensuite été publiée en story Instagram par le rappeur qui s'était alors permis de critiquer la star sur son comportement et son physique. Un incident au sujet duquel ce dernier s'était excusé - indiquant qu'il n'avait pas "l'intention de blesser [ses] sentiments" - et sur lequel l'interprète de Vogue est revenue, ce samedi 11 décembre.
En pleine séance de coiffure et avec un filtre sur son visage, la mère de Lourdes Leon a souhaité régler ses comptes avec l'interprète de Candy Shop dans une vidéo (disponible en cliquant sur ce lien). "Réponse tardive aux fausses excuses de 50 cent. J'ai été occupée, mieux vaut tard que jamais et j'avais certaines choses à dire", a-t-elle précisé en légende. "Tes excuses sont fausses", balance-t-elle d'emblée, avant de continuer amère : "Des excuses ne sont pas valables quand tu ne sais même pas pourquoi tu t'excuses. Ce pour quoi tu devrais t'excuser, c'est pour ton comportement et tes remarques misogynes, sexistes et âgistes."
"Tu n'as pas blessé mes sentiments, parce que je ne l'ai pas pris personnellement. Je ne pourrais jamais le prendre personnellement parce que tu ne viens pas d'un endroit éclairé", enchaîne-t-elle. Et de conclure, non sans recul : "Enfin, je veux juste dire, je te pardonne. J'espère qu'un jour, tu te réveilleras et que tu verras les choses d'un point de vue différent. Je te souhaite le meilleur."
Une leçon d'humilité, faite en bonne et due forme qui n'est pas la dernière en date. En novembre dernier, Madonna avait déjà partagé un coup de gueule sur la Toile suite à la censure de plusieurs de ses photos. "Quatre décennies de censure, de sexisme, de discrimination de l'âge et de misogynie", avait dénoncé la reine de la provoc', avant de poursuivre, révoltée : "Je republie les photos qu'Instagram a supprimées sans avertissement ni notification. Ils ont expliqué à mon management qui ne gère pas mon compte qu'un petit morceau de mon téton était visible. Je trouve ça toujours stupéfiant que notre culture tolère que chaque centimètre du corps d'une femme soit exposé, à l'exception d'un téton. Comme s'il s'agissait de la seule partie du corps féminin qui peut être sexualisée."