Actuellement à New York pour y disputer l'US Open, Maria Sharapova a trouvé le temps entre deux séances d'entraînement de participer à plusieurs soirées et de prendre la pose pour différents magazines. De quoi la consacrer définitivement comme étant la sportive la plus glamour...
Soirées promo et caritatives
Après des vacances avec son amoureux Grigor Dimitrov, la Russe de 27 ans a pris la direction de Big Apple. Et avant de se lancer dans la levée américaine du Grand Chelem, la jolie blonde était occupée lors de différents événements. On l'a ainsi aperçue le 18 août sur la célèbre 5e Avenue, alors qu'elle présentait chez Sephora la crème solaire Supergoop !, produit dont elle est fan depuis des années et dont elle est devenue la copropriétaire en début d'année. Une fois de plus, elle était parfaite dans une petite robe orange qui mettait sa silhouette athlétique en valeur. Au-delà de l'aspect commercial, Maria Sharapova s'est lancée dans la prévention du cancer de la peau, qui est aux États-Unis le type de cancer le plus répandu, comme elle le confiait au magazine Vogue. Habituée des courts de tennis ensoleillés, la sixième mondiale a fait de la pose de crème solaire une véritable routine... raconte-t-elle à la célèbre publication.
Deux jours plus tard, la star brillait une nouvelle fois dans une magnifique robe signée Marc Jacobs à l'occasion de la soirée Fashion Targets Breast Cancer dont elle est l'ambassadrice pour cette année. Son but ? Lever des fonds pour aider des associations qui luttent contre le cancer du sein à travers le monde. Ce 20 août, sa robe jouant sur les nuances de blanc et la transparence faisait ressortir sa peau bronzée. Sourire charmeur et crinière blonde libre, la Russe était une fois de plus le centre d'attention d'une soirée caritative. L'occasion pour elle de dévoiler les clichés très mode pour lesquels elle a pris la pose et qui serviront lors d'une campagne papier en octobre, en partenariat avec le Council Of Fashion Designers of America.
Naturelle et cover girl
Et si ça ne suffisait pas, sa préparation à l'US Open s'est accompagnée de deux shootings photo. L'un pour Self Magazine, dont elle fait la une, l'autre pour l'e-magazine The Edit. A l'occasion de la sortie du premier, Maria Sharapova a participé à une rencontre avec ses fans le 18 août à sa boutique Sugarpova. Robe noire signée LBD et cheveux attachés, la blondissime joueuse était une fois de plus parfaite... En parallèle de ce shooting réalisé sur une plage dans une petite robe légère et fleurie, la belle révèle que sur le court, son apparence est le cadet de ses soucis. "Je fais ma queue de cheval en deux secondes et je ne mets pas le moindre maquillage. J'ai confiance en ma peau et je suis là pour jouer", confie-t-elle. Un contraste saisissant avec ses apparitions dignes des plus grands mannequins...
Quand à son entretien avec The Edit (dont le shooting est à découvrir en partie sur le Daily Mail), Maria Sharapova en livre un peu plus sur elle-même. Et ses désirs de vivre tranquillement dans sa maison de Californie construite sur la plage. "Je vis simplement sur la plage, où les gens ne m'embêtent pas. Ils semblent respecter les athlètes, par là", confie-t-elle à propos de son quotidien loin du circuit de la WTA. Et d'ajouter à propos de sa vie avec son beau Grigor, âgé de 23 ans : "Quand nous sommes à la maison loin du sport, nous sommes juste deux personnes normales qui essayons de mener notre vie de la plus décontractée des manières."
Un pavé dans la mare
Mais une fois en compétition, la Russe se concentre uniquement sur le tennis et son jeu, qui lui ont permis de décrocher 5 titres du Grand Chelem, dont le dernier en juin dernier à Roland-Garros. Et à New York, où elle a passé le premier tour en écartant sa compatriote Maria Kirilenko, Maria Sharapova a lancé un pavé dans la mare en suggérant en conférence de presse que les interventions médicales en plein match soient désormais payantes. "Je pense que nous verrions qui en a vraiment besoin et qui n'en a pas besoin, a-t-elle expliqué. Si on faisait payer 2 500 dollars ou quelque chose comme cela pour une intervention, cela serait marrant, je pense." Dans sa ligne de mire, les joueurs et joueuses qui feraient appel aux médecins en plein match afin de casser le rythme de leur adversaire ou retrouver leurs esprits dans un moment difficile.
Une allusion à peine voilée, même si elle s'en est défendue, à son match face à la belle Ana Ivanovic à Cincinnati, lors de sa demi-finale perdue. La Serbe avait alors demandé une pause médicale avant de s'imposer au terme de trois sets accrochés (6-2, 5-7, 7-5).
Pas sûr que sa proposition face l'unanimité, contrairement à sa plastique de rêve...