Marie Gillain lors de la 3e cérémonie des "Magritte du cinéma 2013" à Bruxelles en Belgique le 2 février 2013© BestImage
Pour défendre le long métrage Landes qu'elle tient sur ses épaules, Marie Gillain a répondu à des questions bien détendues, loin de l'ambiance sociale lourde et dramatique du film dont elle est l'héroïne. Interviewée par Grazia, elle se dévoile ainsi de façon légère, parlant de son programme estival cette année.
L'actrice belge Marie Gillain a deux enfants : Dune, 9 ans, dont le père est le musicien Martin Gamet, et Vega, 4 ans, née de son union avec l'acteur franco-italien Christophe Degli Esposti. Loin des affres de la vie parisienne, cet été, la belle et délicate Marie n'a pas prévu pour autant d'aller bronzer à la plage avec ses filles : "Pas de maillot de bain pour moi ! Je fais des travaux dans ma maison de campagne." Elle peut donc terminer en toute tranquillité les crêpes nutella-bananes de sa petite. Côté sport, elle a prévu une activité détonnante : "Les chorégraphies hip-hop inventées par ma fille de 9 ans. Impossible à décrire tant c'est élaboré, mais ça se danse uniquement devant un public très sélectif."
Au cours de l'entretien, Marie Gillain dévoile que le slip de Jean-Claude Dusse (Michel Blanc) dans Les Bronzés, l'a toujours fait craquer et qu'elle prendrait bien un bain de minuit avec Brad Pitt (mais sans sa coupe de cheveux et sans sa femme). Sacrée coquine, cette Marie qui avoue être une adepte du "sex on the beach", mais "sans les grains de sable".
Dans le long métrage Landes, elle voit la mer et le sable, mais pas question de se rouler dedans. Partageant la vedette avec Jalil Lespert et Miou-Miou, elle incarne Liéna, 35 ans, dans les années 1920. À la mort de son mari, elle hérite de ses vastes propriétés au coeur d'une forêt industrielle et de son drôle de rêve : l'électricité partout sur ses terres. Elle veut à tout prix faire de ce rêve électrique une réalité. Sauf que personne n'en veut, ni son milieu, ni les syndicats.
"Landes", en salles le 31 juillet
Retrouvez l'intégralité de l'article dans le magazine "Grazia" du 26 juillet.
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