Une fois n'est pas coutume, c'est avec sa petite famille presque au complet que Meg Ryan a été aperçue dans les rues de New York, dimance 12 mai, jour de la fête des Mères aux Etats-Unis.
Si pour l'une de ses rares apparitions, l'actrice s'est efforcée de passer incognito, tout de noir vêtue, casquette vissée sur la tête et lunettes de soleil de rigueur, difficile de ne pas remarquer l'aura rayonnante de l'actrice, qui, auprès de ses deux enfants, Jack Quaid (21 ans) et Daisy True (8 ans), semblait être aux anges.
Quoi de mieux pour célébrer les mères que de passer un après-midi détente auprès des siens ? Comblée par cette virée ensoleillée dans les rues de la Grosse Pomme, Meg Ryan n'a pas lâché d'une semelle sa petite Daisy (adoptée en 2006), tout en se montrant ultracomplice avec son aîné, Jack, aspirant acteur né de sa relation avec Dennis Quaid.
Sans aucun doute futur joli coeur d'Hollywood (il a joué dans le carton de 2012, Hunger Games), le jeune homme est apparu ravi de partager ces moments précieux auprès de son illustre maman, un peu plus en formes qu'il y a quelques mois mais toujours très mince malgré les couches de vêtements.
Manquait à l'appel pour que cet après-midi soit parfait pour la star de Nuits blanches à Seattle : John Mellencamp, avec qui l'actrice coule des jours heureux depuis trois ans. Après son divorce d'avec Dennis Quaid en 2001 (ils se sont mariés en 1991), Meg Ryan n'a eu que peu d'aventures si ce n'est une liaison de deux ans avec Russell Crowe et une relation furtive avec Matthew Perry.
A 51 ans, la star semble avoir retrouvé un équilibre sentimental. Mais après une carrière exemplaire débutée dans les années 1980, Meg Ryan a déserté les plateaux de tournage ainsi que les tapis rouges. Exception spectaculaire : début avril, l'actrice s'est montrée sur le red carpet de la présentation de Lucky Guy, la pièce avec son ami Tom Hanks, jouée à Broadway. L'occasion de retrouver la blondeur de la cultissime interprète de Sally Albright (dans Quand Harry rencontre Sally), mais aussi de constater les malheureux ravages causés par l'abus excessif de chirurgie esthétique.