"C'en était trop." Depuis la révélation de la démission brutale de Melissa Touabti, 39 ans, du service de la duchesse Meghan de Sussex, six mois seulement après le mariage royal dans l'organisation duquel elle joua un rôle prépondérant, les rumeurs et rapports d'incidents ayant pour dénominateur commun l'attitude supposément despotique de l'épouse du prince Harry se multiplient. Le feuilleton "Melissa" n'est pas encore clos et les nouvelles révélations n'arrangent rien à l'affaire.
Dans un premier temps, le timing de cette démission, si tôt après l'entrée de Meghan Markle dans la famille royale britannique, avait suscité une certaine perplexité et, déjà, quelques interrogations sur ses raisons, non divulguées. "Pourquoi vouloir quitter un emploi aussi prestigieux si tôt ?", résumait ainsi un observateur proche du sujet. Il avait ensuite été observé que Miss Touabti, qualifiée "d'extrêmement talentueuse" par un porte-parole du palais de Kensington, était par surcroît une professionnelle aguerrie et rompue à la pression, ayant donné pleine satisfaction lorsqu'elle était employée par le bouillonnant chanteur Robbie Williams et son épouse Ayda Field.
Pourtant, la pression imposée par la duchesse Meghan, 37 ans, lui était intenable, à en croire les indications d'une nouvelle source du Daily Mail, dimanche 2 décembre 2018 : "Son poste était soumis à une très intense pression et, au final, c'en était trop. Elle a dû supporter beaucoup de choses. Meghan lui en demandait beaucoup et elle a fini en larmes. Melissa est une grande professionnelle et fantastique dans son travail, mais la situation est arrivée à un point critique et il valait mieux pour toutes les deux qu'elles suivent des chemins séparés."
Malgré ces circonstances - s'il s'avère qu'elles sont exactes - pénibles, Melissa Touabti reste aujourd'hui encore professionnelle puisqu'elle s'est abstenu de tout commentaire.
Et, alors que les témoignages à charge contre Meghan Markle s'accumulent (l'un des derniers en date relate qu'elle aurait demandé à ce qu'on vaporise du désodorisant dans la chapelle Saint George le jour de son mariage, ce qui a laissé Buckingham pantois...), rares sont les voix qui s'élèvent pour prendre sa défense. Le Mirror en a toutefois entendu une en cette fin de semaine : "Meghan n'a simplement pas peur d'exprimer ses opinions. Si beaucoup la trouvent un peu autoritaire, il y en a aussi beaucoup qui adhèrent", estime cette source-là. Ce n'est pourtant guère la tendance qui se dégage et Kate Middleton elle-même aurait beaucoup de mal à composer avec sa belle-soeur par alliance.