Melvil Poupaud en juilet 2010 pour la première de L'Autre monde© Abaca
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Comme Obélix et la potion magique, Melvil Poupaud est tombé dans la marmite du cinéma très jeune puisque sa mère, attachée de presse, côtoyait de nombreuses personnalités issues de cet univers. Son enfance particulière, il la retrace dans le livre Quel est mon noM ?, qui vient de sortir en librairie. Des souvenirs, des impressions et des ressentis sur sa vie d'aujourd'hui, il en livre à la pelle.
D'où vient-il, Melvil ? "Ma mère était une amie de Jacques Lacan, elle dit qu'elle m'a appelé Melvil en hommage à Herman Melville, en plus court pour faire plus masculin. Mon père dit que pour lui, c'était un mélange de Melchior et Virgile." De son enfance, il offrira des bribes, comme des instants cultes de cinéma : "Adjani jouant la baby-sitter pour mon frère et moi. L'élégance de Delphine Seyrig. Duras me trouvait doux et gentil." (Marie France - octobre 2011) Tout cela n'a rien de surprenant pour l'acteur : "La plupart traînaient dans le salon de ma mère, attachée de presse dans le cinéma. De Lacan qui était fou d'elle à Duras, chez qui on passait le week-end, elle ne fréquentait que des personnalités fortes et décalées. Et moi à côté, je me sens tellement normal ! J'ai toujours eu l'impression d'être un exemplaire d'être humain basique plongé dans des situations particulières." (Glamour - octobre 2011)
Oiseau de nuit quand il n'était qu'un jeu chien fou, l'acteur du regretté Raoul Ruiz est un homme sage à présent. Dans Elle, il disait ne plus sortir, ne plus en avoir l'envie. Il préfère rester avec sa fille Anna-Livia, 10 ans : "Elle est arrivée au bon moment, je crois qu'elle m'a sauvé la vie. [...] Je n'ai pas assez profité de sa période bébé, on traversait un sale moment." (Marie France). Son livre, il l'a aussi écrit pour elle, "une façon de lui raconter ma vie, ma version. On a un rapport très fort, naturel". Aujourd'hui, il aimerait bien avoir un deuxième enfant.
Au cinéma, il sera de retour dans L'Orpheline avec en plus un bras en moins, long métrage réalisé par son oncle Jacques Richard et en salles le 19 octobre. Il joue aussi dans Laurence Anyways, le prochain film de Xavier Dolan, réalisateur des Amours imaginaires. "Je suis en femme, épilation, perruque, ça avait un côté magique" (Marie France).
D'où vient-il, Melvil ? "Ma mère était une amie de Jacques Lacan, elle dit qu'elle m'a appelé Melvil en hommage à Herman Melville, en plus court pour faire plus masculin. Mon père dit que pour lui, c'était un mélange de Melchior et Virgile." De son enfance, il offrira des bribes, comme des instants cultes de cinéma : "Adjani jouant la baby-sitter pour mon frère et moi. L'élégance de Delphine Seyrig. Duras me trouvait doux et gentil." (Marie France - octobre 2011) Tout cela n'a rien de surprenant pour l'acteur : "La plupart traînaient dans le salon de ma mère, attachée de presse dans le cinéma. De Lacan qui était fou d'elle à Duras, chez qui on passait le week-end, elle ne fréquentait que des personnalités fortes et décalées. Et moi à côté, je me sens tellement normal ! J'ai toujours eu l'impression d'être un exemplaire d'être humain basique plongé dans des situations particulières." (Glamour - octobre 2011)
Oiseau de nuit quand il n'était qu'un jeu chien fou, l'acteur du regretté Raoul Ruiz est un homme sage à présent. Dans Elle, il disait ne plus sortir, ne plus en avoir l'envie. Il préfère rester avec sa fille Anna-Livia, 10 ans : "Elle est arrivée au bon moment, je crois qu'elle m'a sauvé la vie. [...] Je n'ai pas assez profité de sa période bébé, on traversait un sale moment." (Marie France). Son livre, il l'a aussi écrit pour elle, "une façon de lui raconter ma vie, ma version. On a un rapport très fort, naturel". Aujourd'hui, il aimerait bien avoir un deuxième enfant.
Au cinéma, il sera de retour dans L'Orpheline avec en plus un bras en moins, long métrage réalisé par son oncle Jacques Richard et en salles le 19 octobre. Il joue aussi dans Laurence Anyways, le prochain film de Xavier Dolan, réalisateur des Amours imaginaires. "Je suis en femme, épilation, perruque, ça avait un côté magique" (Marie France).
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