Il y a quelques jours, Michaël Youn se disait "très très content" en révélant qu'il travaillait pour une mini-série intitulée Les Bracelets rouges. "Nouveau Projet, nouveau rôle, nouvelle aventure, nouvelles rencontres", a-t-il indiqué. Ce projet qui prendra la forme d'une "mini-série de six épisodes de 52 minutes" selon TF1 et relatera le parcours de jeunes patients atteints de maladies comme le cancer ou hospitalisés pour des accidents, qui forment une bande pour se soutenir. Mais se murer dans le travail n'empêche pas l'ex-trublion du Morning Live de revenir à sa réalité hors des caméra : un papa nostalgique, loin de sa compagne Isabelle Funaro et de sa fille Seven (5 ans), toutes deux parties en vacances du côté de Saint-Barth'.
Une solitude et une nostalgie qu'il exprimait sur Instagram, le 16 février : "La vie devrait toujours ressembler à ça : tes enfants qui courent sur la plage..." Il a récidivé en ne célébrant cette fois-ci que la petite Seven. Des clichés pris par Isabelle Funaro et que cette dernière lui a envoyés. Trop fier et complètement gaga de sa fillette, Michaël Youn s'est empressé de partager son bonheur et le fruit de son sang sur Instagram avec deux photos légendées de la même manière : "Ma beauté."
De sa fille, il en était également question dans une interview accordée à Télé Poche. "Je suis un papa confiant, presque trop. Sa maman me le reproche assez souvent", avoue-t-il, ajoutant que "Seven est une petite fille heureuse et enthousiaste" et qu'elle "a envie d'être danseuse". Des confessions qui rompent avec le doute ambiant que l'acteur a laissé planer lors de confessions laconiques au magazine Gala. "Le monde fait mal", avait-il lâché avant de se confier par ailleurs : "Hyperactif, je m'autosaoule très vite. En amour comme en amitié, au bout d'un temps, je ne me supporte plus. Ce ne sont pas les autres qui partent, c'est moi, par lassitude de qui je suis."
Des mots qui résonnent étrangement alors que le couple qu'il forme avec l'actrice Isabelle Funaro traverserait une période délicate, si l'on en croit Gala...