Mylène Jampanoï : Amoureuse, elle parle sans tabou de sa sexualité et ses démons
Publié le 31 janvier 2012 à 20:40
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Par Nicolas D.
Mylène Jampanoï à Milan en janvier 2012 Mylène Jampanoï à Milan en janvier 2012© Abaca
John Galliano en 2007 à Paris
Mylène Jampanoï à Paris le 1er octobre 2010
Mylène Jampanoï à Paris le 14 octobre 2010
Couverture du Numero de février 2012
Mylène Jampanoï à Paris le 13 décembre 2011
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Elle avait parlé de son père, qui est "un étranger" pour elle, l'actrice Mylene Jampanoï est aussi partante pour faire des révélations sur ses amours, ses relations (sexuelles ou pas) et même prendre des risques à parler de John Galliano et de son fameux dérapage.

La belle brune de 31 ans est depuis peu la nouvelle égérie de la marque de sous-vêtements Agent Provocateur. Elle a également tenu le rôle principal de l'incroyable fiction Rani, diffusée sur France Télévisions, et a tourné en 2010 pour Clint Eastwood dans le film Au-Delà, sorti en 2011. Sa carrière décolle, c'est le moins que l'on puisse dire. Elle a le vent en poupe.

Alors le magazine Numero s'est intéressé à elle pour son édition de février 2012.

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Une interview fraîche, sympathiquement menée à coups de questions personnelles volontairement intrusives, auxquelles Mylène Jampanoï a visiblement pris du plaisir à répondre.

A propos de ses romances, on apprend qu'elle n'est pas une croqueuse d'hommes, et qu'elle a, d'ailleurs, essayé les filles.

"Très peu d'hommes ont partagé mon lit. Je suis actuellement en couple, et je suis très fidèle. Donc en ce moment, c'est toujours le même."

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Ancienne ambassadrice des soins Dior pour le marché asiatique, cette métisse franco-chinoise a eu trois belles années de collaboration avec la marque. Et à propos de l'affaire John Galliano, directeur artistique de la marque de couture qui avait tenu des propos antisémites à la terrasse d'un bar et avait été licencié à cause de ça, Mylène Jampanoï se confie.

"Quand on fait ce métier, mieux vaut connaître les règles. Les débordements, il vaut toujours mieux les réserver pour chez soi. Je le savais fragile, névrosé, au bord du gouffre, donc quelque part je n'ai été qu'à moitié surprise par les propos inacceptables qu'il a tenus. Mais vous savez, moi aussi je suis parfaitement ignoble quand je suis bourrée. Une vraie mauvaise fille. Mauvaise, mais pas antisémite."

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