Nicolas Canteloup installé à Maisons-Laffitte dans les Yvelines avec sa famille : un projet immobilier met à mal leur tranquillité

Depuis plusieurs années, les téléspectateurs de TF1 retrouvent dès 21h Nicolas Canteloup dès 21h dans C'est Canteloup, une courte émission dans laquelle il fait profiter de ses talents d'imitateur. Mais lorsqu'il quitte l'antenne, il redevient lui-même et retrouve sa vie de famille avec sa femme et leurs quatre enfants, de 21, 12, 10 et 6 ans. C'est à Maisons-Laffitte (Yvelines) qu'il a établi pour lui et sa tribu un petit nid douillet. Mais dernièrement, sa tranquillité est mise à mal. Pour cause, le promoteur Etimmo a pour ambition d'édifier un immeuble collectif de trois logements dans le Parc de Maisons-Laffitte, soit juste à côté du logement de Nicolas Canteloup.

Ce dernier a alors tenté de faire annuler le permis de construire en se rapprochant du Conseil d'État, se disant "voisin immédiat", comme nous l'apprend le site 78actu. En effet, sa maison et ses "installations liées à la pratique de sports équestres" sont situées sur "la parcelle contiguë" à celle de l'immeuble, révèle un arrêt en date du 14 octobre 2024. S'il craignait que le projet "engendre des vues" sur sa propriété, Nicolas Canteloup avançait par ailleurs d'autres arguments visant à annuler la construction de l'immeuble. Il accusait notamment le promoteur de "fraude" et de tentative de dissimulation "sur le fait que les boxes à chevaux contigus et mitoyens au projet étaient implantés dans le périmètre d'un site classé". En outre, selon lui, la surface déclarée était "volontairement erronée" pour "tromper l'administration". Enfin, Nicolas Canteloup et sa défense jugeaient également que les "conditions de distance" d'au moins 50 mètres entre les logements n'étaient pas respectées.

Malheureusement, l'humoriste n'a pas obtenu gain de cause et a été désavoué par le Conseil d'État. Après étude du dossier, "aucun" de ses arguments "n'est de nature à permettre l'admission du pourvoi". Le seul "vice" trouvé est celui concernant l'implantation des "arbres de hautes tiges"  car Etimmo devait en implanter deux, et non pas un seul. Mais in fine, le promoteur ne se voit pas retirer son permis de construire.